1 mai 2009
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15:35
Le président américain Barack Obama a reconnu mardi que le survol à basse altitude de New York par un de ses Boeings accompagné de deux chasseurs, à l'origine d'un mouvement de panique, était une "erreur" qui ne se reproduirait pas, selon des journalistes à ses côtés.
"C'était une erreur, comme cela a déjà été dit", a déclaré M. Obama à un groupe de journalistes au lendemain de l'incident. "Cela ne se reproduira pas", a-t-il ajouté.
Le survol à basse altitude de New York pendant environ une demi-heure par un appareil "Air Force One" servant au transport du président et deux chasseurs F-16 a brutalement réveillé le souvenir des attentats du 11 Septembre lundi, et provoqué panique et évacuations de bureaux.
L'administration a présenté lundi des excuses exceptionnelles, par la voix de Louis Caldera, le directeur du bureau militaire à la Maison Blanche, dont relève la flotte présidentielle.
"Je présente mes excuses et j'assume la responsabilité du désarroi que ce vol a causé", a dit M. Caldera. Il n'a pas précisé cependant quel était l'objet de cette opération.
Selon l'administration fédérale de l'aviation (FAA), "il s'agissait d'une manoeuvre autorisée du département de la Défense destinée à faire des photos". (belga/th)
"C'était une erreur, comme cela a déjà été dit", a déclaré M. Obama à un groupe de journalistes au lendemain de l'incident. "Cela ne se reproduira pas", a-t-il ajouté.
Le survol à basse altitude de New York pendant environ une demi-heure par un appareil "Air Force One" servant au transport du président et deux chasseurs F-16 a brutalement réveillé le souvenir des attentats du 11 Septembre lundi, et provoqué panique et évacuations de bureaux.
L'administration a présenté lundi des excuses exceptionnelles, par la voix de Louis Caldera, le directeur du bureau militaire à la Maison Blanche, dont relève la flotte présidentielle.
"Je présente mes excuses et j'assume la responsabilité du désarroi que ce vol a causé", a dit M. Caldera. Il n'a pas précisé cependant quel était l'objet de cette opération.
Selon l'administration fédérale de l'aviation (FAA), "il s'agissait d'une manoeuvre autorisée du département de la Défense destinée à faire des photos". (belga/th)
