9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 11:34

L'emblématique boisson gazeuse va devoir changer sa potion magique, selon Discoverynews. La raison : une substance chimique, qui sert à colorer la boisson, et qui serait cancérigène. Une "dangerosité" qui divise la communauté scientifique.

 

 

La boisson la plus vendue au monde va-t-elle changer de goût ? Une substance chimique, le 4-methylimidazole (4-MEI), qui sert à colorer la boisson, serait cancérigène, selon une information de Discoverynews reprise par Le Monde de jeudi. D'autres sodas, des sauces soja, ainsi que certaines bières seraient aussi concernées.

C'est une association américaine de défense des consommateurs qui a été la première à donner l'alerte. En février 2011, le Centre pour la science dans l'intérêt public (CSPI) a même demandé à l'administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments (FDA) d'interdire le 4-MEI dans tous les produits. Le CSPI aurait effectué des prélèvements d'échantillons de différents sodas et d'après les résultats, le Coca-Cola contiendrait 142 à 146 microgrammes de la substance chimique dans l'équivalent d'une canette américaine (soit 35 cl). Une dose au-dessus des nouvelles limites fixées par l'Etat de Californie, pour qui le niveau conseillé est de 29 microgrammes consommé pour l'ensemble de la journée, explique Le Monde. Au-delà, de cette limite le fabriquant doit faire apparaître un message d'avertissement sur le produit.

 

Obligation de changer les étiquettes 

En Europe, la législation est différente et moins contraignante. En 2008, dans une directive européenne la limité légale du 4-MEI a été fixée à 250 milligrammes par kilo (soit 80.000 microgrammes par canette). Une dose légale approuvée par l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA)  qui a estimé que l'Union européenne offrait un niveau de "protection suffisant" concernant les concentrations maximales des colorants caramels, précise Le Monde.

 

Dans un souci de plus grande transparence, l'association américaine a demandé de renommer le colorant contenant du 4-MEI : "colorant caramel issu de l'ammoniac et du sulfite" ou "colorant caramel chimiquement modifiée". "En lisant colorant caramel de nombreux consommateurs pensent que c'est coloré avec du caramel, mais cet ingrédient n'a rien à voir avec un caramel ordinaire. C'est un concentré de produits chimiques brun foncé qui n'existe pas de manière naturelle", explique Michael Jacobson, le président américain de l'association de défense des consommateurs (CSCPI).

 

Pour éviter de voir apparaître des messages d'avertissement sur ces cannettes, Coca-Cola s'est engagé à changer sa recette. "La compagnie a demandé à ses fournisseurs de caramel de faire le nécessaire afin de satisfaire les exigences de l'Etats de Californie", a indiqué Diana Garza Ciarlante, une porte-parole du groupe.

 

Pour autant, il n'est pas question pour le géant gazeux de retirer la substance chimique, qu'il  estime non dangereuse pour la santé. Il réduirait simplement la dose de manière à respecter la législation. Les consommateurs ne devraient même pas sentir la différence assure le géant américain.

 

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Source :  Lci.tf1.fr

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15 décembre 2011 4 15 /12 /décembre /2011 18:38

REUTERS/Jessica Rinaldi

 

Les bars à sourire promettent au chaland des dents blanches de star. Sans risque ? Entre ces nouvelles enseignes et les chirurgiens-dentistes, l'heure est à l'empoignade.

 

 

Il est venu pour soigner son look à la veille d'un entretien d'embauche. Pour ne plus rester bouche cousue, tétanisé par une dentition jaunie par le tabac. Nadia, elle, voudrait que ses quenottes "soient en harmonie", le mois prochain, avec sa robe de mariée. Rictus figés, mâchoires prisonnières d'une gouttière en silicone remplie de gel mentholé, les clients des bars à sourire prennent la pose. Avec l'espoir qu'en quelques séances d'une vingtaine de minutes - à 80 euros l'une - l'opération blanchiment leur procure une bouche de star. Parfois, ça marche. Mais rarement pour longtemps. 

 

Après les cabines de bronzage et en attendant, demain, les "espaces sieste" - un premier vient d'ouvrir à Paris - les bars à sourire investissent coiffeurs, ongleries, salles de sport et cabinets d'esthéticienne. Au grand dam des dentistes qui dénoncent les reconversions de boutiques de téléphonie, voire de sex-shop en échoppes de blanchiment.  

 

 

Le ripolinage dentaire pousse comme du chiendent

 

Résultat : Magic Smile, White Box, Côté Sourire et autres enseignes de ripolinage dentaire poussent comme du chiendent. Une révolution de palais qui va bon train. D'autant que la prestation ne nécessite aucun diplôme. Que le client doit lui-même appliquer le kit fourni et qu'il n'est pas question pour celui qui l'accueille de mettre un doigt dans sa bouche, geste réservé aux chirurgiens-dentistes.  

 

Combien sont-ils à franchir le seuil de ces boutiques ? "Des bataillons", réplique une personne de Point Sourire, une vingtaine de boutiques franchisées à travers la France depuis un an. Lui et son acolyte, ont défini leur cible : les 18-50 ans habitués des soins esthétiques ponctuels - manucure, massages. Mais aussi ceux qui souhaitent "répondre rapidement à un complexe latent", précise leur charte. "On s'inscrit dans une démarche sociétale où le paraître prime l'être", assènent doctement les deux associés. D'où, sans doute, ces messages publicitaires résolument positifs convoquant Soeur Emmanuelle - "Souris et le monde te sourira" - ou insistant sur ces études scientifiques selon lesquelles "plus on sourit, plus on vit longtemps". 

 

De quoi convaincre d'autres candidats à l'immaculée dentition? Peut-être. Mais pas l'Académie nationale de chirurgie dentaire, inquiète de la percée de ces boutiquiers "blanchisseurs" et vent debout face à "la manipulation de produits d'éclaircissement qui n'est pas sans risque". 

 

En ligne de mire, le fameux gel. A base de peroxyde d'hydrogène (finalement, de l'eau oxygénée), la substance est considérée comme cancérigène et dangereuse pour l'appareil reproductif par l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Elle est interdite aux jeunes et aux femmes enceintes. La main sur le coeur, les enseignes jurent l'avoir abandonnée pour le perborate de sodium. "Un tripatouillage", rage l'ordre des chirurgiens-dentistes. Au contact de l'eau, le perborate produit également du peroxyde. Et de pointer la menace : des gels dont la concentration, faute d'être conforme aux dosages prévus par la législation, se révélerait dangereuse. "Que nenni" répondent les nouveaux venus qui attaquent l'ordre en diffamation. Au contraire de la Belgique, où les cabinets dentaires ont décidé, eux, d'investir dans ces boutiques du paraître. Pour éviter la soupe à la grimace ? 

 

 

Source : l'express.fr

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9 novembre 2011 3 09 /11 /novembre /2011 13:15

Les cheveux gras sont difficiles à vivre au quotidien car ils donnent de vous l’image d’une personne négligée.
Or, il s’agit simplement du résultat d’un processus naturel.

Les racines des cheveux sont dotées de glandes sébacées, qui sécrètent une substance grasse appelée sébum. Ce dernier est plutôt bénéfique pour la fibre capillaire. Il permet de garder le cheveu soyeux et en bonne santé, et l’empêche de se dessécher et donc de casser.

Les cheveux gras sont liés à une production excessive de sébum.
Dans le pire des cas, les glandes sébacées peuvent étouffer la racine, entraînant ainsi une chute de cheveux excessive ou l’apparition de pellicules.
Parmi les causes de ce déséquilibre : hérédité, mauvaises habitudes alimentaires, prise de certains médicaments ou entretien capillaire inadapté.

La production de sébum peut également varier en fonction des saisons, des changements de climat, des fluctuations d’hormones ou des périodes de stress prolongées.

 

 

Si vos cheveux sont très gras, consultez un dermatologue qui pourra vous prescrire des médicaments contenant de l’acide rétinoïque (molécule dérivée de la vitamine A).
Cette dernière régule les sécrétions des glandes sébacées.

Mais dans la plupart des cas, des soins spécifiques viendront à bout des cheveux gras. Ces produits permettent de rééquilibrer la sécrétion de sébum.
Les algues ou les plantes, telles que la prêle, le romarin, le tussilage, l’ortie, la camomille et la sauge, contribuent à réguler la production de sébum et à apaiser le cuir chevelu.
Les shampoings médicaux à base de goudron peuvent également avoir cet effet.

Mais attention : fuyez les produits contenant des protéines ou des substances reconstituant le film lipidique, tels que les huiles ou le silicone !
Ils ne font qu’aggraver une situation déjà délicate, en alourdissant le cheveu et en le rendant encore plus gras.

Il ne suffit pas de choisir des soins adéquats, encore faut-il les utiliser correctement…

Certaines personnes sont convaincues que des shampoings trop fréquents stimulent la production de sébum, mais cette croyance ne repose sur aucun fondement.
C’est même tout l’inverse.
 

 

Les cheveux gras doivent être lavés fréquemment, tous les jours si nécessaire.
Chaque shampoing élimine presque tout le sébum des glandes sébacées si le produit est appliqué par massage sur le cuir chevelu.

 

Le résultat est sans équivoque : grâce aux soins adaptés, les cheveux gras ne seront bientôt plus qu’un mauvais souvenir !

 

Source : Magazine-avantages.fr

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10 octobre 2011 1 10 /10 /octobre /2011 12:38

Le perchloroéthylène ou tétrachloroéthylène est un composé chimique de formule Cl2C=CCl2. Il est parfois simplement appelé perchlo.
Ce solvant, qui est un composé organique volatil, est surtout utilisé pour le nettoyage à sec de tissus et pour dégraisser des métaux. Il figure sur la liste des cancérogènes du groupe 2A du CIRC et peut causer des troubles neurologiques, rénaux et hépatiques.

 

 

Effets sur la santé 

Dans l'Union européenne, le perchloréthylène est classé comme « nuisible à la santé » et « dangereux pour l'environnement » . Il figure sur la liste des cancérogènes du groupe 2A du CIRC, qui inclut les produits probablement cancérigènes pour l'homme. Il est aussi inclus, en France, dans le tableau 12 RG des maladies professionnelles.

 

Le perchloroéthylène est absorbé par inhalation, par voie orale et par la peau (quand il est sous forme liquide). Il est toxique pour le système nerveux et le rein. L'exposition au tétrachloroéthylène peut causer une irritation des voies respiratoires et des yeux, des vertiges, nausées, maux de tête et pertes de mémoire, une somnolence et cela peut aller jusqu'à la perte de connaissance et la mort. Un cluster de cancer (leucémie et autres), impliquant des composés organiques volatiles dégagés par une entreprise de nettoyage à sec, dont du trichloréthylène, du 1,2-dichloroéthylène, du perchloroéthylène, du dichlorométhane et du chlorure de vinyle, a été découvert à Camp Lejeune, en Caroline du Nord.

 

Selon le docteur Dolores Malaspina, directrice du département de psychiatrie de la New York University School of Medicine, il serait aussi un facteur schizophrénique : selon elle, les enfants exposés à du perchloroéthylène du fait du travail de leurs parents dans des centres de nettoyage à sec auraient 3,5 fois plus de risque de développer des symptômes de schizophrénie. Aussi, selon le docteur Malaspina, il est possible que Cho Seung-hui, le tueur de Virginia Tech, ait été affecté par ce produit, ses parents ayant une entreprise de nettoyage à sec.

 

Le Danemark et les États-Unis ont interdit l'installation de nouveaux pressings utilisant le perchloroéthylène, produit qui devrait être totalement retiré aux États-Unis en 2020. L'UE a engagé une politique de réduction du risque et des émissions de perchloroéthylène avec la directive 1999/13/CE relative à la réduction des émissions de composés organiques volatils dues à l’utilisation de solvants organiques dans certaines activités et installations. En France, 15 000 personnes seraient exposés, au travail, au « perchlo ». Les trois principales alternatives au perchloréthylène sont le nettoyage au mouillé, l’utilisation du Silicone Liquide (procédé GreenEarth), d’hydrocarbures et l’utilisation du dioxyde de carbone. Parc Disneyland lave les textiles par du siloxane, un solvant non toxique à base d'hydrocarbures, qui est commercialisé sous la marque GreenEarth.

 

Lors de l'ouverture du hublot d'une machine de nettoyage à sec, les vapeurs de perchloroéthylène s'échappent de la machine. Les personnes travaillant ou habitant au-dessus d'un pressing sont exposées à ces vapeurs. Les vapeurs de perchlorethylène peuvent traverser le béton et les planchers jusqu'à trois étages au-dessus du rez de chaussée. Les alentours des pressings au Perchlorethylène sont aussi très souvent contaminés et sont dangereux pour les passants, clients et voisins des pressings au perchloréthylène. < André Cicollela>.

 

Il est recommandé de bien aérer les textiles qui ont été nettoyés à sec. En cas de contact du perchloréthylène avec la peau ou les yeux, rincer à grande eau et d'appeler le centre antipoison, et de consulter un médecin.

 

 

Sources : Wikipedia [Fr]

Wikipedia - Nettoyage sec

Nicematin (Faits divers)


Dichlorométhane (maladie professionnelle)

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3 septembre 2011 6 03 /09 /septembre /2011 23:33

Le Coca Cola est une boisson qui est très sucrée (7 morceaux de sucre par canette), mais également qui possède de la caféine (33 mg pour un seuil de 200 mg par jour à ne pas dépasser), et aussi de l'aspartame (à décliner, il vaut mieux opter pour de la stévia qui est naturel) dans sa gamme de produit "light".

 

Les ingrédients : Eau gazéifiée, sucre, colorant : caramel E150d, acidifiant : acide phosphorique, arômes naturels (extraits végétaux), dont caféine.

 

Le Coca Cola comporte de l'acide phosphorique, mais pas de l'acide citrique comme d'autres boissons à base de soda, c'est grâce à cela que le goût caractéristique du Coca Cola, et du Pepsi Cola est atteint.



- Une étude américaine met en avant que "boire deux verres de Coca Cola par jour multiplie par deux les risques de faire une insuffisance rénale !"

 

Ce syndrome de l'insuffisance rénale affecterait 3 millions de Français, et ceux d'une façon irréversible.

 

- Une autre étude met en avant que "la consommation quotidienne de coca cola chez les femmes entraine un risque accrue d'ostéoporose" avec une baisse de la concentration minérale osseuse.

Cette acidifiant pousse l'organisme à se défendre en tirant dans ses ressources et en absorbant les citrates de calcium qui constituent les os.

 

- La consommation chez les enfants peut affecter leurs croissances, étant donné que l'acide phosphorique bloque l'absorption du calcium.

 


- A surveiller aussi : Le caramel qui participe à la coloration caractéristique du Coca Cola serait aussi concerné, d'après la parution du CPSI.

 

Il est fabriquer à base d'une réaction chimique entre du sucre, des sulfites et l'association d'ammoniac. C'est l'ammoniac qui provoque un souci : La réaction crée 2 éléments chimiques suspectées de provoquer des cancers (2-4-MI) d'après les études réalisé sur des animaux. L’annotation "Caramel" masque une réalité distincte du caramel maison.

 

 

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Sources :

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14 juin 2011 2 14 /06 /juin /2011 19:16

Une recherche suggère que la consommation régulière des boissons sucrées atténue la sensibilité au sucre et provoque la recherche ultérieure de nourriture calorique. En réalité, consommer deux boissons (et plus) sucrées quotidiennement « anesthésie » les récepteurs de sucre sur la langue. Cela provoque un cercle vicieux : on veut quelque chose de plus sucré par la suite (sinon, cela nous paraît fade). Cette réaction si rapide des récepteurs, tant pour les obèses que pour les personnes minces, a surpris les spécialistes de cette étude.

 

Lors de cette recherche, on a demandé à des personnes minces et obèses de noter leur perception et plaisir de choses salées ou sucrées. Les obèses ont eu tendance à noter les boissons sucrées comme moins sucrées que ceux qui étaient minces. On a demandé également à des personnes minces qui ne buvaient pas souvent de sodas, de le faire deux fois par jour et de revenir un mois après. Le test ultérieur a clairement montré qu'ils percevaient les boissons comme moins sucrées (et avaient moins de plaisir). Ce résultat est important pour combattre l'obésité et le diabète de type 2.

 

Source : Sur-la-toile.com

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1 juin 2011 3 01 /06 /juin /2011 11:58

Coup de tonnerre pour le monde des télécoms. Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), lié à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a annoncé hier que les radiofréquences émises par les téléphones mobiles présentaient un risque de développement de cancers pour les utilisateurs.

 

 

Les champs électromagnétiques émis par les téléphones portables ont été classés dans la catégorie 2b du Centre international de recherche sur le cancer, tout comme le plomb, le chloroforme, le café, les vapeurs d’essence, la fibre de verre et le styrène.


L’organisation a analysé toutes les études parues sur le sujet pour se prononcer. Les scientifiques ont jugé que davantage de recherches devaient être faites pour donner une réponse définitive sur le lien entre l’utilisation du portable et l’apparition de gliomes, les tumeurs au cerveau les plus fréquentes.

 

Le plus haut niveau d’exposition a lieu lors des appels. L’OMS recommande donc l’utilisation des kits mains libres et la pratique des SMS.

 

 

De leur côté, les professionnels se rebiffent en France et aux États-Unis

 

En effet, outre-Atlantique, les professionnels du téléphone portable sont regroupés au sein de l’association CTIA. Et sans surprise, elle dénonce l’étude et la crédibilité même de l’OMS, rien que cela. Selon CTIA, l’agence de recherche sur le cancer de l’OMS, qui a publié ces résultats polémique, « procède à de nombreux examens et a, par le passé, classé dans cette même catégorie les légumes marinés et le café ». D’après les professionnels américains, « des preuves limitées émanant d’études statistiques peuvent être trouvées, bien que les résultats puissent n’être le produit que de partis pris et de certaines erreurs ».

 

Côté hexagonal, la Fédération Française des Télécoms a immédiatement réagi dans un communiqué. Les ondes radio « n’ont pas la même classification que, par exemple, l’alcool, le tabac et l’amiante (catégorie 1) », ni que « le trichloréthylène et les fumées des moteurs diesel (catégorie 2A) ». Le CIRC, « en choisissant 2B, indique que le lien entre cancer et ondes radio n’est pas démontré », met encore en avant la fédération des Télécoms dans son communiqué.

 

Sources : France Soir – Le Post – Les Echos

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28 mai 2011 6 28 /05 /mai /2011 15:37

REUTERS/Eric Gaillard

 

D'après une étude commandée par l'Agence de sécurité sanitaire de l'alimentation, combiner alimentation équilibrée et exercice physique régulier est la meilleure prévention contre le cancer. En êtes-vous convaincu ?

 

Il n'y a pas d'aliment miracle anti-cancer ou pro-cancer. C'est la conclusion d'une étude bibliographique menée, à la demande de l'Agence de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses), par un groupe d'experts relevant de plusieurs disciplines. Le rapport du groupe concerne les publications des quatre dernières années, à l'échelle mondiale, sur les facteurs nutritionnels dans le cadre de la prévention des cancers.

 

Contrairement à ce que certains ouvrages de vulgarisation sans base scientifique peuvent annoncer, aucun aliment, pris séparément, ne peut être considéré comme facteur direct de la prévention ou du déclenchement d'un cancer. Dans les comportements nutritionnels, les recommandations du groupe d'experts mettent au contraire en avant que c'est la combinaison d'une alimentation équilibrée et d'un exercice physique régulier qui est le principal garant de la prévention de la plupart des cancers.

 

L'étude confirme cependant que certains aliments, ou certains groupes d'aliments, pris de manière excessive, peuvent augmenter le risque de cancer. Ainsi, la consommation (trop) régulière de boissons alcoolisées augmente - jusqu'à 168% par verre consommé par jour ! - le risque des cancers de la bouche, du larynx, du pharynx, de l'oesophage, du colon chez l'homme et du sein chez la femme.

 

La viande rouge et la charcuterie, ou encore le sel, sont également des aliments à risques, s'ils sont consommés de manière excessive. Pour leur part, les compléments alimentaires à base de béta-carotène augmentent le risque de cancer du poumon, chez les fumeurs, sujets déjà à risque. En revanche, la consommation régulière de fruits et légumes, déjà recommandée auprès des consommateurs, réduirait les risques de cancers de nombre d'organes.

 

 

Un tiers des cancers pourraient être évités

Par ailleurs, l'étude apporte des conclusions -attendues- sur les effets de comportements nutritionnels ou physiques. Le surpoids ou l'obésité favorisent certains cancers (oesophage, pancréas, colon-rectum, endomètre, rein, sein), tandis que l'allaitement réduirait le risque de cancer du sein. Le rapport du groupe d'experts met également en lumière que la réduction de la sédentarité, autrement dit la pratique régulière d'une activité physique, est essentielle, en complément de l'alimentation. Le Pr Margaritis, qui a participé à l'étude, parle même d'une interaction entre aliments et exercice physique.

 

Au total, près d'un tiers des cancers dans les pays développés pourraient être évités par une prévention nutritionnelle. L'Anses pourra utiliser les conclusions de ce rapport d'experts pour émettre des recommandations allant dans le même sens que d'autres études (risques liés à certains régimes). Et s'inspirer des directives de prévention d'autres pathologies de notre société (diabète, obésité, maladies cardiovasculaires): manger équilibré, manger diversifié, pratiquer une activité physique régulière. En attendant un hypothétique aliment miracle anti-cancer...

 

Source : Lexpress.fr

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15 mai 2011 7 15 /05 /mai /2011 18:56

Il y a actuellement une sorte de contamination progressive des lits par des « punaises de lit ». Cela est venu des États-Unis, s'est répandu au Royaume-Uni et la France commence à être atteinte. On a rassuré les gens en disant que les morsures de ces créatures démangeaient, mais ne posaient pas de risques. Toutefois, des chercheurs ont montré que ces « bestioles » peuvent apporter avec elles des bactéries résistantes aux antibiotiques. 


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Photo: Armed Forces Pest Management Board

 


Pour l'instant, conclure est prématuré, car l'étude est encore trop « fraîche ». On suggère toutefois que ces animaux pourraient finalement transmettre des maladies. On a découvert cela en regardant les punaises de lit de patients de l'hôpital de Vancouver. On a découvert de « méchantes bactéries » transportées, comme USA300. On en trouve partout, mais surtout à l'hôpital où elle s'est renforcée. Si cette bactérie trouve un accès sous la peau, il est très difficile de la déloger. Le souci justement est que les punaises de lit créent des plaies... 

Les chercheurs ne peuvent pour l'instant savoir si les patients avaient d'abord ces bactéries et que les punaises les ont acquises par contact ou l'inverse. Il faut attendre une étude approfondie pour conclure sur le danger que peuvent représenter ces punaises de lit.

 

Source : Sur-la-toile.com

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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 19:36

On dirait bien que boire du café et avoir des relations sexuelles ne sont pas compatibles. D'après un récent rapport, ces activités conjointes peuvent déclencher des anévrismes. Il s'agit du gonflement d'une artère dans le cerveau. Si cette artère se gonfle trop et rompt, cela peut causer une hémorragie et conduire à un infarctus. Il n'y a pas que la consommation de café, mais aussi de cola, un exercice physique trop rigoureux (dont sexuel) ou même se moucher très fort le nez, poussez fort aux toilettes ou se mettre en rage.

 

Cette découverte est importante, car cela peut permettre de donner un conseil aux patients qui ont un début d'anévrisme constaté. Certains anévrismes ne sont pas facilement traitables et il est mieux d'en passer par la prévention. Des recherches antérieures ont montré qu'il y avait des facteurs de risques chroniques comme l'âge, l'hypertension, la consommation de tabac ou même le genre sexuel (les femmes sont plus facilement atteintes). On estime qu'environ 2 % de la population ont un risque d'anévrisme intracrânien.

Peu de gens ont des symptômes avant la rupture (maux de tête très importants, vomissements, problèmes de vision), toutefois, l'utilisation de plus en plus fréquente de techniques d'imagerie médicale permettra d'en détecter plus. La dernière étude en date a trouvé qu'il existe une trentaine de risques potentiels de déclenchements et que les trois premiers sont la consommation de café, des exercices physiques soutenus et se moucher le nez. Les relations sexuelles ne sont pas loin dans cette liste de choses qui accroissent brutalement la pression sanguine et l'on opine que c'est ce qui favorise le risque.

Source : Sur-la-toile.com

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