5 mai 2011 4 05 /05 /mai /2011 22:34

 

Alors que les rapports sur la dangerosité des produits contenus dans les désodorisants se multiplient, voici les conseils de NEOPLANETE pour adopter des solutions alternatives...

 

Les produits d’entretien sont à nouveau montrés du doigt par les instituts de protection des consommateurs. Cette fois, ce sont les produits désodorisants qui sont examinés à la loupe. L’Ineris, Institut national de l’environnement industriel et des risques, a publié un rapport dans lequel il indique que les terpènes présents dans les désodorisants peuvent constituer un risque pour la santé. L’Ineris explique que «le rapport souligne en premier lieu le déficit de données accessibles sur les émissions de substances polluantes par les produits (…) et la nécessité de réaliser des travaux expérimentaux complémentaires». Vous pouvez télécharger le rapport ici.

 

En 2008 déjà, l’association de consommateur UFC-Que Choisir présentait une étude sur les désodorisants d’intérieur en mesurant leur niveau d’émissions dans l’air en composés organiques volatils, en substances chimiques, cancérigènes, irritantes ou allergènes. Malgré ce qu’on pourrait croire, les encens sont tous polluants et contiennent des molécules cancérigènes (formaldéhyde et benzène). L’enquête déconseille aussi l’utilisation d’aérosols hypoallergéniques ou assainissant ces derniers émettant du limonène, une molécule irritante.

 

Pour résumé, les quatre problèmes liés à l’utilisation d’un parfum d’intérieur chimique ou d’un désodorisant sont: les risques d’irritation au niveau respiratoire ou pulmonaire, les risques d’allergie en relation avec les différents parfums, les désodorisants sont également suspectés de perturber le système hormonal, et les effets sur la santé liés à la présence de substances cancérigènes et/ou toxiques dans les émanations de ces produits.

 

Quelles sont les alternatives ?

- Les produits bio

 

Désodorisants atmosphère Maison nette antibactérien

 

Ce désodorisant d’atmosphère bio «Maison nette anti-bactérien» Ecodoo est un désinfectant multi-fonctions (bactériostatique, bactéricide, fongicide, désodorisant). Il est garanti sans gaz, mais propulsé à l’air pur, il est sans danger d’inflammation et respectueux de la couche d’ozone. Sa formule hypoallergénique  minimise les risques d’allergie, il est inoffensif pour l’homme, les animaux domestiques et les plantes. Ses composants actifs sont uniquement d’origine végétale et minérale. Composition: alcool, combinaison d’huiles essentielles 100% pures et naturelles d’origan, thym et de ravensara (bactéricides), de citronnelle (répulsive), de pin, niaouli, eucalyptus, girofle et lavandin (synergie bactéricide). 10,80 €. juste-bio.com

 

Senteurs des Garrigues Ecodoo

 

Ce produit laisse une agréable odeur de fraîcheur citronnée. Sans PEG, EDTA, PBO, colorants de synthèse, il s’agit d’une formule concentrée à base de matière active végétale, avec des huiles essentielles bio 100% pures et naturelles. Le produit est garanti sans ni butane ni propane. Composition : alcool, combinaison d’huiles essentielles 100% pures et naturelles de citronnelle, eucalyptus, lemongrass, verveine. 9,07 €. webecologie.com

 

Air delys Agrumes 200ml – Etamine du Lys

 

Les huiles essentielles de ce désodorisant d’air et de tissus sont toutes issues de l’agriculture biologique. Le petit plus de ce produit? Son flacon pompe ainsi que son spray sans gaz propulseur rendent l’article économique et écologique. L’emballage est entièrement recyclable, la biodégradabilité optimale. Sa composition ?  Des huiles essentielles biologiques de mandarine rouge, orange, pamplemousse et citron 100% pures et naturelles. 9,24 €. laboutiqueecologie.com

- Les astuces de grands-mères

 

Afin de réaliser un désodorisant au thym, prenez du thym et de la lavande et faites-les tremper pendant plusieurs heures dans un bol contenant de l’alcool à 90 degrés. Laissez macérer. Prenez un tissu doux et imbibez-le de ce mélange. Servez-vous en pour nettoyer ou dépoussiérez vos meubles.

 

Pour fabriquer un désodorisant moquette par vous-même, sans que cela ne coûte une fortune, mélangez 50 grammes de talc avec votre parfum préféré, 75 grammes de bicarbonate de soude et deux cuillères à soupe de farine de maïs. Mélangez le tout, puis saupoudrez-le sur la moquette. Laissez agir un bon quart d’heure, et passez l’aspirateur.

 

Sources : danger-sante.org/desodorisant-diffuseur-parfum/ineris.fr et trucsdegrandmere.com

 

Sources principal : 20minutes.fr

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27 avril 2011 3 27 /04 /avril /2011 16:17

Une récente recherche suggère que les ouvriers qui sont exposés aux fumées de la soudure seraient susceptibles d'avoir des dégâts au cerveau dans une région qui est également liée à la maladie de Parkinson. Ces fumées produites lors des opérations de soudure seraient toxiques en raison de la présence de manganèse. On sait qu'il existe une relation entre ce manganèse et des problèmes neurologiques comme des symptômes proches de la maladie de Parkinson.

 

Si la conclusion de cette étude était confirmée, cela aurait un impact important, car le travail de soudure est très généralisé. L'étude a impliqué 20 personnes non soudeurs et sans maladie de Parkinson, 20 personnes avec la maladie de Parkinson (non-soudeurs) et 20 personnes pratiquaient régulièrement la soudure (30 000 heures de travail de soudure en moyenne). Ces derniers avaient un taux de manganèse qui était en moyenne deux fois plus important.

 

On a remarqué un déficit de dopamine chez les soudeurs. Il s'agit d'un neurotransmetteur que l'on retrouve moins chez les personnes qui ont la maladie de Parkinson. Des tests de coordination ont aussi montré des difficultés de précision chez les soudeurs (deux fois moins importants que pour ceux atteints de la maladie de Parkinson). L'étude ne fait qu'une hypothèse concernant la relation entre le manganèse et le déficit en dopamine. D'autres études sont nécessaires pour confirmer cela.

 

Source : Sur-la-toile.com

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1 avril 2011 5 01 /04 /avril /2011 12:00

70 kilos. C’est la consommation moyenne de sucre par an et par personne en France contre 2 kilos au début du siècle. Obésité, diabète, vieillissement accéléré, accidents cardiaques, cancer, maladie d’Alzheimer, la liste de ses méfaits présumés s’allonge. Pourquoi le sucre est-il dangereux ? Par quoi le remplacer ? Faut-il faire confiance aux édulcorants de synthèse ? Existe-t-il des alternatives naturelles ?

 

 

LE SUCRE

Haro sur le sucre raffiné

D’accord, le sucre ce n’est pas bon pour la santé, mais il faut bien se faire plaisir et ce n’est pas si mauvais que cela, non ? Et bien si ! Tout d’abord, le sucre raffiné favorise la prolifération de bactéries nocives, entraînant par la même les plaques dentaires qui sont à l’origine des caries. Continuant son chemin dans le tube digestif, cet aliment ‘mort’ dépourvu de toutes vitamines ou oligo-éléments, ira puiser dans vos réserves pour être métabolisé, vous carençant notamment en vitamines B1 (mémoire) et magnésium (stress, fatigue) et créant un terrain acide propice à de nombreux dérèglements. Pour finir, il perturbera votre flore intestinale et diminuera votre immunité. Après avoir mangé 50 grammes de sucre blanc, la force de vos globules blancs est réduite de 75% et ceci durant 7 heures ! 50 grammes de sucre c’est 100 grammes de chocolat, 500ml de soda, 100g de ketchup et autres aliments industriels.

Pourtant le sucre nous apporte de l’énergie, je sens que j’en ai besoin !

Le sucre raffiné se déverse trop rapidement dans le sang, créant un regain d’énergie de courte durée. Le corps se met en état d’alerte afin de rétablir rapidement le taux normal de sucre dans le sang. C’est l’insuline, une hormone fabriquée par le pancréas, qui est chargée d’éliminer l’excès de sucre dans le sang. Si aucun tissu du corps n’a besoin de sucre, l’insuline dirige celui-ci vers le tissu adipeux et le transforme en graisse. Dès que l’insuline est créée, une réaction d’hypoglycémie (baisse du taux de sucre sanguin) s’accompagne d’une dépression mentale et physique appelant à nouveau un stimulant tel thé, café, sucre, sel, médicaments, cigarette, alcool, drogues…créant une nouvelle hyperglycémie. Ces alternances d’hyper et d’hypo glycémies dérégulent le corps et épuisent le système nerveux.

Je suis irritable, mécontent(e), fatigué(e), agressif(ve), malade…

Et si c’était l’hypoglycémie suite à trop de sucre ? Visez plutôt la longue liste des symptômes les plus fréquents de l’hypoglycémie après consommation excessive de sucreries : sensation inconsciente de faim, nervosité, irritabilité, fatigue, faiblesse, étourdissement, vertiges, dépression nerveuse, maux de tête, troubles digestifs, troubles de la mémoire, crises de larmes, insomnie, engourdissement, bâillements, anxiété sans cause, douleurs musculaires, crampes dans les jambes, fatigue le matin au réveil, caractère indécis, somnolence, manque de libido essentiellement chez les femmes, augmentation de la libido chez l’homme, cauchemars, phobies, peurs, manque de concentration, comportement associal. Certaines expériences ont montré qu’en diminuant la quantité de sucre dans l’alimentation des adolescents, on obtient une diminution extraordinaire des comportements violents.

Au secours, je suis drogué(e) !

Le sucre agirait de la même manière que les drogues dures sur le cerveau. C’est ce que suggère une étude américaine menée en 2008. La forte consommation de sucre entraîne des modifications neurochimiques dans le cerveau impliquant des troubles du comportement. Ces modifications du cerveau sont similaires à celles produites lors de consommations régulières et abusives de cocaïne, morphine ou nicotine.

Et si je continue, je risque gros ?

Oui ! À long terme, l’excès de sucre crée un vieillissement accéléré des cellules qui s’endommagent (altération des organes, rides…), favorise la prolifération des champignons dont le candida albicans (candidose), développe l’obésité (une canette de soda par jour peut faire grossir de 6,5 kg par an), favorise dans certains cas le développement de la maladie d’Alzheimer, augmente le risque de cancer du colon et de diabète de type 2. Enfin 150 000 décès cardiaques annuels seraient directement liés à la consommation de sucre aux Etats-Unis.

Et le sucre roux ?

Il est pratiquement autant raffiné que le sucre blanc, voire parfois recoloré. Il comporte donc les mêmes dangers. Pour du vrai sucre, dirigez vous en boutique bio et demandez du sucre de canne complet et intégral de type rapadura qui contient 50 fois plus de minéraux. Il est délicieux avec un léger goût de cassonade.

Si je remplace par du fructose, c’est bien, non ?

Les boîtes et le nom sont jolis mais c’est un sucre de demi-synthèse issu du raffinage de betteraves, topinambours ou maïs. Le fructose tout comme un de ses dérivés l’isoglucose, augmente le risque d’obésité, élève les triglycérides du sang (facteurs de maladies cardiovasculaires) et diminue la sensibilité à l’insuline (risque de diabète).
 
 

LES ÉDULCORANTS DE SYNTHÈSE

Consommer des produits contenant des édulcorants de synthèse n’est pas forcément un bon calcul car ils comportent beaucoup d’additifs afin de reproduire la texture, le goût et la conservation apportés par le sucre. Par ailleurs ils ne sont pas sans danger pour la santé, même si on manque encore d’études et de recul sur tous les édulcorants. Le professeur Joyeux, cancérologue émérite, prédit, qu’avec la consommation accrue d’édulcorants de synthèse, on assistera dans les prochaines années à un encouragement supplémentaire pour le goût sucré, une augmentation des cancers de la vessie et des problèmes pendant ou après la grossesse pour la mère et l’enfant.

Aspartame (E951) : des études contradictoires mais peu rassurantes.

Découvert en 1965 par la société Searle, il est mis sur le marché américain en 1974 puis suspendu quelques mois plus tard en raison de potentiels effets toxiques et cancérigènes sur le cerveau. En 1981 la FDA (Food and Drug Administration) l’autorise à nouveau et 2 ans plus tard, Monsanto rachète la société Searle.

Il est présent dans 6000 produits et dans de nombreux médicaments. Vous entendrez tout et son contraire sur l’aspartame. Par mesure de précaution, évitez le. D’après le professeur Joyeux, il pose peu de problèmes de toxicité mais peut avoir une action sur le cerveau comme le glutamate de sodium. Une des plaintes les plus fréquentes chez les victimes de l’aspartame est la perte de mémoire. D’après le docteur H.J. Roberts, qui a étudié ses effets depuis plus de 15 ans aux Etats-Unis sur 1300 victimes, les risques sont majeurs notamment sur les jeunes consommateurs : baisse des facultés cognitives, de la concentration, de la mémoire, décollement de la rétine, malformations congénitales, fatigue chronique voire maladie d’Alzheimer…

On pointe surtout du doigt sa teneur en alcool méthylique (se décomposant dans le corps en formaldéhyde, acide formique et dioxyde de carbone) en cause dans le lupus érythémateux, maladie auto-immune en forte croissance, dénommée ‘la maladie de l’aspartame’.

Enfin il est impératif de ne pas élever la température de l’aspartame car cela produit un nouvel élément au nom barbare (dicétopipérazine), neurotoxique et cancérigène notoire.

Les édulcorants de synthèse à éviter :

La saccharine (E954). Ancêtre de l’aspartame, elle est, aujourd’hui, beaucoup moins employée en France (mais beaucoup en Chine). Elle serait cancérigène.

L’acésulfame K ou de potassium (E950). Certaines études indiquent qu’il peut provoquer le cancer. L’Agence européenne de sécurité le juge inoffensif mais fixe une dose journalière limite au-delà de laquelle, certains effets secondaires peuvent se manifester : prurit, urticaire, douleurs abdominales, nausées, vomissements, diarrhées.

Le cyclamate de sodium (E952). Il est difficile d’évaluer son innocuité toxicologique mais de sérieux doutes planent. Certaines études indiquent qu’il pourrait altérer la flore intestinale, la fertilité masculine et être à l’origine d’inconforts digestifs et de tumeurs cancéreuses. Enfin il est déconseillé chez les femmes enceintes car cause possible de malformations chez l’embryon.

Le sucralose (E955). Aucune preuve actuellement de ses dangers mais seulement des doutes. On lui prête des effets secondaires sur le foie, les reins ou une baisse de l’immunité.

Le néotame (E961). Petit frère de l’aspartame, ce nouveau venu est présenté comme sans danger et vient tout juste d’être autorisé en Europe. Peu de recul à l’heure actuel mais sa composition chimique peut laisser dubitatif…Lisez les étiquettes car il peut être partout ! (boissons aromatisées, lait, céréales, bières, conserves, compléments alimentaires…)

L’acide glycyrrhizique (E958). À base de réglisse, nous avons encore peu de recul, mais tout comme la réglisse, il est à éviter chez les hypertendus.
 
 

Mention passable pour certains édulcorants

L’érythritol (E968).

On le trouve à l’état naturel dans certaines algues. Il est sans danger s’il est garanti sans OGM (fabriqué à partir de maïs).

L’isomalt (E953), le lactilol (E966) et le maltitol (E965).

Sans effets secondaires majeurs, Ils peuvent provoquer des ballonnements et diarrhées.

Le mannitol (E421).

Édulcorant naturel, il est issu de la manne de frêne, des algues brunes ou du maïs (risque d’OGM donc). En restant sur une consommation journalière faible, on risque simplement des ballonnements et des flatulences. Un abus peut entraîner des diarrhées et une colite.

Le sorbitol (E420).

Issu des baies de sorbier, il est naturel. Malheureusement il est aussi issu du maïs et peut donc contenir des OGM. Il peut causer des inconforts digestifs (diarrhées, ballonnements, flatulences…) et ceci dès 2 bonbons seulement. Déconseillé en cas de fragilité digestive.

La thaumatine (E957).

Elle est d’origine naturelle et est beaucoup employée dans l’industrie agro-alimentaire pour ses qualités de ‘masqueur d’amertume’ notamment.

Le xylitol (E967).

Surnommé le sucre anti-carie, il est fabriqué à partir de l’écorce de bouleau en Finlande et regorge de bénéfices bucco-dentaires. Malheureusement, la majorité du xylitol ne provient plus de Finlande mais de Chine. Privilégiez la mention xylitol de bouleau et consommez le raisonnablement car il peut lui aussi provoquer des inconforts digestifs.
 
 

LES ALTERNATIVES NATURELLES !

L’inuline, un édulcorant bon pour la santé ! 


On trouve de l’inuline dans les racines de chicorée, les topinambours, la bardane et aussi dans l’ail et l’oignon. L’industrie agro-alimentaire l’utilise de plus en plus et l’extrait pour cela des racines de chicorée. Elle a des vertus prébiotiques et donc bénéfiques pour la flore intestinale. De plus, elle potentialiserait l’absorption du calcium et serait donc indiquée pour les enfants et en prévention de l’ostéoporose. Enfin, elle est utile lors de constipation chronique, réduirait le ‘mauvais’ cholestérol et les triglycérides et permet de contrôler l’appétit (coupe faim).

La stévia, enfin autorisée en France

Depuis 2010, elle est enfin autorisée en France comme édulcorant. La stévia est un arbuste originaire du Paraguay. Il est aujourd’hui cultivé dans le monde entier. Une feuille a le pouvoir sucrant d’un sucre. Vous pouvez le trouver en magasins diététiques sous la marque Sylvia en comprimés.

Le miel

S’il est pointé du doigt pour son index glycémique élevé, il reste un aliment bourré de vertus. À tel point que l’on parle d’apithérapie. Peu digeste mélangé à d’autres aliments, pensez à le consommer seul en dehors des repas (dans une tisane par exemple) et avec modération. Selon sa provenance, les vertus diffèrent : miel de châtaignier pour la circulation, d’eucalyptus pour la sphère ORL, de bruyère pour les problèmes urinaires, etc…

Le sirop d’érable

Délicieux, il serait, cela tombe bien, bon pour la santé car regorgeant de sels minéraux. Certains professionnels de santé lui prêtent en revanche peu de vertus car son procédé de fabrication, comprend une étape de chauffage qui détériore les vitamines et minéraux.

Le sirop d’agave

Extrait de l’agave, un cactus mexicain, il est riche en sels minéraux. C’est un de nos chouchous avec son faible index glycémique, son fort pouvoir sucrant, son goût neutre et sa forme liquide rappelant le miel.

Sirop d’orge

Son index glycémique est très élevé mais il a l’intérêt de contenir du maltose qui prédigère les céréales. Il serait également galactogène (favorise la production de lait lors de l’allaitement).

Le sucre de sève de fleur de cocotier

Nouveau venu en Europe, il provient des Philippines et est extrait de la fleur de coco et se présente sous forme de poudre. Il a lui aussi un index glycémique très faible et est facile d’utilisation (comme un sucre normal). Vous pouvez le trouver chez ‘Le Monde est Bio’. www.lemondeestbio.com (8 euros les 500g).

La sève de kitul

Issue des fleurs d’un arbre Sri Lankais, la sève est filtrée et chauffée, puis bouillie. Elle a un index glycémique faible et un apport intéressant en vitamines et minéraux, probablement dégradés en grande partie par la cuisson.
 
 
 

Sources :
L’envers des étiquettes, charles wart, Editions Amyris
Changer d’alimentation, Professeur Henri Joyeux, Collection Ecologie Humaine
Diététique du 21ème siècle, docteur Ch. Tal Schaler, Colelction NutriDoc
L’homme empoisonné, Daniel Kieffer, Editions Grancher
Lanutrition.com
Guérir.org

Cookissime.fr

 
Octobre 2010

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 14:42

Détails :

Pour indiquer la durée de vie des produits alimentaires, deux types de mentions existent, « à consommer avant le : » ou « à consommer de préférence avant le : ».
Pour la mention « à consommer de préférence avant le : », le risque est au niveau de la qualité organoleptique (vue, goût, odeur). Il n’y a pas de risques pour la santé.
Par exemple, pour les boîtes de conserve, le principal risque est le goût métallique dans la bouche.

 

Pour la mention « à consommer avant le : », le risque est clairement au niveau de la santé du consommateur. On parle bien de risque statistique car les bactéries ne se développent pas à minuit pile…

 

Remarque : Certains produits n’ont pas de date indiquée, les produits frais par exemple, ou les vins et spiritueux en bouteille.
Pour les premiers (fruits, poissons…), le législateur estime que le marchand et le consommateur peuvent reconnaître un produit non frais à sa simple vue ou odeur…
Pour les seconds, le législateur doit penser que du vin en bouteille ne s’altère jamais.

 

 

Le miel ne se périme pas !

 

Par sa forte teneur en sucre, qui est lui même très hygroscopique (comprendre qu’il ne permet pas aux bactéries de se développer), le miel se conserve indéfiniment.

 

Une fois cristallisé il suffit de le faire fondre pour qu’il redevienne complètement liquide.

 

On raconte que du miel trouvé dans les pyramides égyptiennes ayant près de 2000 ans était encore comestible.

 

 

Sources :
agriculture.gouv.fr – comment conserver les aliments
alimentaire-pro.com – dates limite

Wikipedia – Miel
Wikipedia – Conservation des aliments
Wikipedia – Hygroscopique

Spontex.org

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 12:47

Détails :

C’est en effet pendant cette période (de 1933 à 1945) que l’État national-socialiste va mener, au nom de la protection de la race et de la lutte contre le cancer (hygiène, santé physique et mentale), une véritable guerre contre le tabac.

 

Hitler a d’autres lancements à son actif parmi lesquels la coccinelle et la seconde guerre mondiale !

 

Adolf Hitler avait l’ambition de démocratiser l’automobile, réservée jusque là aux plus riches. Les fameuses autoroutes, créées en effet avant son accession au pouvoir, étaient quasi-désertes.

De ce fait, Hitler est à l’origine de la création de la VOLKSWAGEN (= voiture du peuple) qui était d’abord le nom du modèle avant de devenir le nom de la marque, Coccinelle n’étant qu’un surnom.
D’ailleurs, le concepteur de la Coccinelle est le non moins célèbre Ferdinand Porsche !

 

 

Sources :
entreprise-et-droit.com – réprimer les fumeurs

Spontex.org

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10 février 2011 4 10 /02 /février /2011 13:28

Boire tous les jours du soda light accroîtrait le risque d'accident vasculaire de 61%, selon une étude américaine.

 

 

Un verre, ça va... mais un verre chaque jour, bonjour les dégâts ! Contrairement au vin rouge, dont des médecins ont mis en avant depuis longtemps les bienfaits pour le coeur... lorsqu'il est consommé avec modération, le soda, lui, n'a que des inconvénients - même s'il se prétend "light". Et c'est un vrai problème de santé publique aux Etats-Unis, où boire du soda tous les jours est véritablement entré dans les moeurs. Une recherche publiée mercredi tend ainsi à montrer que les personnes buvant dusoda light quotidiennement accroîtraient leur risque d'accident vasculaire de 61% comparativement à celles ne consommant aucun soda. Cette étude a été menée auprès de 2564 personnes à New York dans le cadre d'un projet baptisé Northern Manhattan Study (NOMAS).

 

"Si ces résultats sont confirmés par d'autres études futures, ils indiqueront que le soda light n'est pas le meilleur substitut aux boissons sucrées pour réduire les risques cardiovasculaires", souligne le Dr Hannah Gardener, une épidémiologiste de la faculté de médecine de l'Université de Miami. Elle est le principal auteur de cette communication présentée à la Conférence internationale annuelle de l'American Stroke Association réunie cette semaine à Los Angeles.

 

Trop de sucre... et trop de sel

Pour cette étude, les chercheurs ont demandé aux participants au début de la recherche la quantité et le type de soda consommé. A partir de leurs réponses, ils les ont groupés dans sept catégories allant de ceux ne buvant jamais de soda, à ceux qui en buvaient modérément (de un par mois à six par semaine) et quotidiennement (au moins un par jour). Durant une période de suivi de 9,3 ans, il y a eu 559 accidents vasculaires dans le groupe, y compris des attaques cérébrales ischémiques (provoquées par un caillot dans un vaisseau) et hémorragiques, résultant de la rupture d'un vaisseau sanguin. Les gros consommateurs de soda light avaient un risque d'accident vasculaire 61% supérieur aux autres.

 

Les auteurs de l'étude ont pris en compte l'âge, le sexe et l'origine ethnique des participants ainsi que le fait de fumer, d'être actif physiquement ou sédentaire ainsi que leur consommation d'alcool et leur régime alimentaire. Or, même après avoir tenu compte d'autres facteurs comme l'excès de poids et des antécédents de maladie cardiaque, l'accroissement du risque cardiovasculaire pour les buveurs réguliers de soda light était encore de 48%.

 

Une autre étude regroupant 2657 personnes, également menée dans le cadre du projet NOMAS et présentée à la conférence de l'American Stroke Association, indique qu'une forte consommation de sel de table - indépendamment de l'hypertension qu'elle provoque - est aussi liée à une très forte augmentation des attaques cérébrales ischémiques. Dans cette étude, les personnes qui consommaient plus de 4000 milligrammes de sel par jour avaient un risque d'accident vasculaire cérébral plus que doublé par rapport à celles consommant moins de 1500 milligrammes. Seulement un tiers des participants avaient une consommation de sel de table respectant les recommandations fédérales américaines de 2300 milligrammes maximum quotidiennement, soit l'équivalent d'une cuillère à café. Et seuls 12% des participants se conformaient aux quantités maximum recommandées par l'American Heart Association de 1500 milligrammes par jour. La consommation moyenne aux Etats-Unis est en fait du double : 3031 milligrammes par jour...

 

 

Source : Lci.tf1.fr

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 15:37

Certains polluants toxiques tel que le benzène se retrouvent dans l'air au voisinage des stations-services. Cette diffusion de produits toxiques aux abords des pompes à essence rejoint un niveau jugé dangereux pour la santé, selon l'avis de chercheurs de l'Université Murcia en Espagne. Ils suggèrent qu'il n'y ait pas de logements bâtis à moins de cinquante mètres de ces stations où l'on s'approvisionne en essence. Les écoles, garderies, hôpitaux ou centres pour personnes âgées devraient être éloignés d'au moins cent mètres afin que les gens qui fréquentent ces institutions demeurent à l'abri de ces sources de pollution. 


L'étude publiée dans The Journal of Environnemental Management indiquent que le benzène et l'hydrocarbure n-hexane atteignent dans l'air des niveaux plus élevés dans les secteurs situés à proximité des pompes. Certains de ces composés volatiles furent enregistrés comme étant présents en plus grande quantité dans les stations-services que dans les villes où la circulation est la cause majeure d'émissions de ces substances polluantes. La diffusion de composés organiques s'avère néfaste pour la santé et peut accroître le danger de contracter le cancer.

 

Source : Sur-la-toile.com

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 15:34

James Randi, illusionniste qui a consacré sa fin de carrière à la démystification des fraudes de nature paranormale, avait lancé en 1968 un défi à quiconque démontrerait des facultés extra-ordinaires. Le prix de 100$ à l'époque a rapidement augmenté au fil des années, grâce aux dons d'amis de Randi et de sceptiques soutenant sa fondation. Depuis 1996, les voyants, tordeurs de cuillères, sourciers et autres télépathes peuvent gagner un million de dollars en passant un test scientifique de leur habilité. A ce jour, personne n'a été en mesure de réclamer le prix. 

A l'occasion des manifestations du collectif 10:23 le week-end dernier, il a annoncé que le prix serait également offert à quiconque prouvera que l'homéopathie fonctionne. Rappelons que l'homéopathie se base sur le principe d'une dilution extrème d'une substance produisant les symptômes à combattre. 

Par exemple, pour lutter contre des problèmes gastriques on pourra prendre une dilution d'arsenic (Arsenicum). Rassurez-vous, c'est sans danger. En fait, on l'ignorait à l'époque, mais on sait aujourd'hui qu'aux dilutions utilisées en homéopathie, il ne reste pas le moindre atome de la solution de départ. Les compagnies qui font des millions en vendant des produits homéopathiques se justifient en invoquant une « mémoire » de l'eau, dont l'existence n'a jamais pu être prouvée.

 

Source : Sur-la-toile.com

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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 14:00

Fumer provoque des dégâts au niveau génétique en quelques minutes à peine, démontrent des chercheurs américains. Ils se sont intéressés à l'action dans le sang d'une substance particulièrement nocive qu'on trouve dans la fumée de cigarette : le phénanthrène.

 

 

On savait la cigarette nocive... à long terme. Une étude de scientifiques américains diffusée ce week-end évoque des dégâts bien plus rapides, remettant en cause l'image que l'on pouvait se faire de la dangerosité du tabac. Car dès les premières bouffées, la fumée inhalée par un fumeur de cigarette provoque, en quelques minutes à peine, des dégâts au niveau génétique qui induisent des risques de cancer. "L'effet est si rapide qu'il est équivalent à l'injection directe de la substance dans le sang", expliquent les scientifiques dans des conclusions qui constituent selon eux un "avertissement sévère" pour les fumeurs.

 

Cette étude parue dans le journal Chemical Research in Toxicology est la première à examiner comment les substances contenues dans le tabac provoquent des dégâts au niveau de l'ADN chez l'homme. Elle s'appuie sur douze fumeurs volontaires, chez lesquels les chercheurs ont suivi la trace de produits toxiques contenus dans le tabac et appelés hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP).

 

 

Les dégâts du phénanthrène

 

Ils se sont notamment intéressés à l'action dans le sang d'une de ces substances, le phénanthrène, qu'on trouve dans la fumée de cigarette et ont constaté qu'elle formait une substance toxique qui "provoque des mutations qui peuvent engendrer un cancer", selon l'étude.

 

"Les fumeurs atteignent le niveau maximum de la substance dans une échelle de temps qui a surpris même les chercheurs: seulement 15-30 minutes après que les volontaires eurent fini leur cigarette", note l'étude.

 

Le cancer du poumon est le plus meurtrier des cancers et celui qui augmente le plus dans le monde, puisque plus de 12 millions de nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année et que près de 8 millions de personnes en meurent. Quelque 90% des morts dues à un cancer des poumons sont liés à la cigarette.

 

 

Source : Lci.tf1.fr

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5 janvier 2011 3 05 /01 /janvier /2011 17:54

Une étude canadienne conclut que le risque de mortalité augmente de 36% chez les usagers de ces médicaments et préconise une thérapie psychologique complémentaire au traitement pharmacologique.

 

 

Les médicaments contre l'insomnie et l'anxiété augmentent le risque de mortalité de leurs usagers, selon une étude que vient de publier le Canadian Journal of Psychiatry. La recherche menée par la professeur Geneviève Belleville, de l'Ecole de Psychologie de l'Université Laval à Québec, s'appuie sur des renseignements portant sur 14.000 Canadiens âgés de 18 à 102 ans et collectés pendant 12 ans  par l'institut Statistique Canada. Pendant cette période, 15,7% des personnes ayant indiqué avoir pris au moins une fois un médicament contre l'insomnie ou l'anxiété lors du mois précédent l'interview sont décédées. Parmi celles qui ont indiqué ne pas en avoir absorbé, le taux de mortalité était de 10,5%.


Après avoir isolé d'autres facteurs personnels pouvant affecter le risque de mortalité, dont la consommation d'alcool et de tabac ou la dépression, le Pr  Belleville a conclu que la consommation de somnifères ou d'anxiolytiques  augmentait le risque de mortalité de 36%. Un grand nombre d'hypothèses peuvent expliquer ce rapport de cause à effet. De tels médicaments affectent la rapidité de réaction, la vivacité en général et  la coordination de mouvements, ce qui peut conduire à des chutes et à d'autres accidents. Ils peuvent aussi troubler la respiration pendant le sommeil et inhiber le  système nerveux central, ce qui augmente le risque de suicide.


"Ces médicaments ne sont pas des bonbons et leur prise n'est pas sans conséquences", a déclaré Mme Belleville, qui recommande de combiner l'approche pharmacologique avec une thérapie psychologique pour combattre l'insomnie et l'anxiété. Elle a précisé que la catégorie d'âge la plus  concernée étaient les "seniors", entre 55 et 75 ans: jusqu'à 20% prennent de  tels médicaments, contre une moyenne entre 3 et 6% pour l'ensemble de la  population canadienne. Enfin, le Pr Belleville a reconnu une limite de son étude: elle n'a pu  mesurer l'anxiété et l'insomnie parmi les personnes qui cherchent à les combattre et pour qui ces phénomènes peuvent constituer également un risque de mortalité accru.

 

Source : lci.tf1.fr

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