22 décembre 2010 3 22 /12 /décembre /2010 13:16

Il convient avant tout de distinguer deux notions de base : la date limite de consommation (DLC) et la date limite d’utilisation optimale (DLUO).

 

 

La DLC pour les produits frais

 

La DLC s’applique aux produits frais (produits laitiers, viande, poisson…), contenant beaucoup d’eau, terrain favori des microbes à l’origine de problèmes de santé (gastro-entérite, infection aux staphylocoques, aux mycotoxines, listériose, salmonellose, botulisme, etc.). La DLC est stricte (« à consommer jusqu’au »), il faut vraiment la respecter.

 

« Je mange les yaourts périmés d’une semaine, est-ce grave ? », se demande Marion. Pas de panique : les yaourts font exception car, pasteurisés, ils sont démunis de microbes. Ils peuvent être consommés jusqu’à deux semaines après leur DLC si leur aspect et odeur sont normaux (sauf si l’opercule est bombé).

 

Mais attention, la DLC ne s’applique plus une fois le produit ouvert. Il faut alors consommer l’aliment très rapidement, dans les 48 h pour les jus, 3 jours pour le lait UHT, etc. Les restes d’une conserve ouverte, placés dans un récipient fermé, peuvent être gardés 2 jours au réfrigérateur.

 

 

La DLUO pour les produits secs

 

« Je jette mes céréales dès qu’elles sont périmées », déclare Vanessa. La jeune femme pourrait encore les garder un peu. En effet, les céréales possèdent une DLUO (« à consommer de préférence avant le/avant fin »), seulement indicative, comme tous les aliments secs (pâtes, riz, biscuits…) mais aussi les produits lyophilisés (café, épices), déshydratés (purée, soupe), stérilisés (conserves), salés (charcuterie), fumés (poisson), congelés, surgelés, les fromages affinés, le lait UHT et la plupart des boissons. Ces produits, s’ils sont consommés au-delà de la DLUO, perdront de leur saveur mais ne présenteront pas de risque pour la santé.

 

 

Direct à la poubelle !

 

Même si la DLC ou DLUO n’est pas passée, ces signes doivent vous alerter :

- Les yaourts dont l’opercule est gonflé ;
- Les conserves dont le couvercle est bombé (risque de botulisme) ;
- Les œufs dont le blanc n’est pas transparent et le jaune pas ferme (les œufs se conservent 21 jours au réfrigérateur) ;
- Les viandes et poissons sentant mauvais, à l’aspect gluant, changeant de couleur (gris-vert pour la viande), dont l’emballage plastique est gonflé ;
- Les pains avec des traces de moisissures (toxique, voire cancérigène) ;
- Les aliments riches en eau avec des moisissures – compotes, jus, légumes (risque d’intoxication alimentaire) ;
- Les aliments qui ont été congelés puis recongelés.

 

Source : Yahoo.fr

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14 décembre 2010 2 14 /12 /décembre /2010 16:40

Le cancer est devenu en 2004 la première cause de mortalité des Français devant les maladies cardio-vasculaires, en raison notamment d'une forte baisse de ces dernières, selon une étude de l'Inserm publiée mardi dans Le Figaro.

En 2004, sur 509.804 décès, 30% étaient dus au cancer, avec dans l'ordre le cancer du poumon, celui du colon et les leucémies. Les maladies cardio-vasculaires étaient la cause de 29% des décès, mais ce chiffre a baissé de 50% en 25 ans, alors que celui du cancer restait stable, dit l'Inserm.

Les autres causes de décès sont notamment les accidents (5%), le suicide, le diabète et la maladie d'Alzheimer (2% chacun). L'espérance de vie en France, une des plus élevées au monde, est actuellement de 84 ans pour les femmes et 77 ans pour les hommes.

L'étude relève que le suicide constitue la première cause de mortalité chez les 25-44 ans. L'importance du phénomène chez les très jeunes gens fait de la France un cas à part en Europe (621 suicides chez les 15-24 ans en 2004), dit l'Inserm.

Par ailleurs, les décès dans des accidents de transport ont connu une forte baisse entre 2000 et 2004 (-31%), alors que la répression s'est accentuée et que le gouvernement a commencé l'installation de radars automatiques.

L'Inserm souligne que les hommes meurent plus tôt que les femmes (1.012 décès pour 100.000 habitants en 2004 contre 565 pour les femmes) en raison de comportements à risque liés à la route et à l'alcool et à la plus fréquente occurrence du suicide.

Source : Reuters

 

 

cancers

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9 décembre 2010 4 09 /12 /décembre /2010 14:31

Une petite quantité d'aspirine, prise tous les jours, réduirait considérablement la mortalité due à un certain nombre de cancers courants comme le cancer du colon ou de la prostate.

 

 

On connaissait ses vertus dans la prévention des maladies du cœur. Mais apparemment, il ne se limite pas à ça. Une petite quantité d'aspirine, prise tous les jours, réduirait considérablement la mortalité due à un certain nombre de cancers courants comme le cancer du colon ou de la prostate.

 

Ce n'est pas la première fois que les qualités de l'aspirine dans la lutte contre le cancer sont mises en exergue. De précédents travaux avaient montré que l'aspirine prise à faible dose (75 mg par jour) sur le long terme permettait de réduire de plus d'un tiers les taux de mortalité par cancer colorectal. Mais pour cette nouvelle étude, publiée mardi dans la revue médicale britannique The Lancet, le professeur Peter Rothwell (université d'Oxford, Royaume-Uni) et ses collègues ont étudié les décès dus à tous les cancers survenus pendant et après des essais comparant des patients prenant tous les jours de l'aspirine à ceux qui n'en prenaient pas. Ces essais concernaient à l'origine la prévention cardiovasculaire (infarctus...) et non le cancer. Pour mener leur travail, les auteurs ont retenus 8 essais englobant 25.570 patients.


Importants bénéfices

Selon eux, prendre de l'aspirine quotidiennement pendant 5 à 10 ans, comme dans ces essais, réduit la mortalité, toutes causes confondues (y compris celles dues à une hémorragie fatale), d'environ 10% durant cette période. Et, selon leur analyse, sur une vingtaine d'années, la réduction du risque de décès par cancer est d'environ 10% pour le cancer de la prostate, de 30% pour celui du poumon, de 40% pour le cancer colorectal et de 60% pour celui de l'oesophage. Pour ce dernier, comme pour le cancer du poumon, le bénéfice est limité à une catégorie précise de tumeurs ("adénocarcinomes").

D'après le Pr Rothwell, si les gens étaient traités avec de faibles doses d'aspirine durant 20 à 30 années, ceux qui entameraient ce traitement vers la fin de la quarantaine ou à la cinquantaine pourraient, en fin de compte, en tirer le plus de bénéfice. Toutefois, des recherches complémentaires sont nécessaires, selon les auteurs, en particulier pour évaluer l'impact de l'aspirine sur les cancers féminins. D'autre part, un suivi médical au delà de vingt années est indispensable pour vérifier s'il n'y a pas un rebond tardif de la mortalité par cancer, ajoutent-ils.

Ces résultats ne veulent pas dire que tous les adultes doivent se mettre immédiatement à prendre de l'aspirine, mais démontrent d'importants bénéfices apportés par l'aspirine à faible dose en terme de réduction de la mortalité due à plusieurs cancers communs, ce qui est nouveau, selon eux. Le cancer est responsable d'environ 1,7 millions de décès par an en Europe, notent-ils.

 

 

Source :  lci.tf1.fr 

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24 octobre 2010 7 24 /10 /octobre /2010 15:58

Vous voulez pouvoir stocker de la nourriture pendant plusieurs mois sans qu'elle paraisse se gâter. Ca semble être possible...



Si l'on en croit l'expérience menée par une artiste de Manhattan, Sally Davies, elle aurait montré qu'un Happy Meal de chez McDonald's résisterait parfaitement aux forces destructrices de la nature.

Mme Davies explique que, pendant 6 mois, elle a photographié les frites et le hamburger sans jamais déceler aucune trace de moisissure ou de pourriture.

Le Happy Meal, au premier jour de son achat.

Le Happy Meal au bout de 5 mois et demi.

Pratiquement 6 mois après, le hamburger ne présente aucun signe de moisissure - pas même sur le pain. Bien qu'il ait diminué un peu de taille, il ne semble pas si différent de l'original.

Mme Davies affirme qu'au bout de quelque temps même ses chiens ont renoncé à l'envie de voler ce hamburger.

Cependant elle a déclaré qu'elle avait choisi McDonald's parce que c'était le fast-food le plus proche de chez elle, mais que cette expérience aurait pu être menée ailleurs, vu la multitude de fast-foods à New York.

"La première chose qui m'a frappée le deuxième jour de l'expérience, dit-elle, c'est que cette nourriture n'émettait aucune odeur."

Surprise de Mme Davies : les frites et les hamburgers n'avaient pas encore montré de signes de décomposition au bout de deux semaines !

"C'est alors que j'ai réalisé que quelque chose d'étrange se passait avec cette nourriture".

"L'apparence générale n'a pas changé au fil des semaines, sinon qu'au bout de six mois, la nourriture semblait être en plastique au toucher, comme si on avait passé dessus un film acrylique."

"Le seul changement que je vois, c'est qu'il est devenu dur comme un roc."

Interrogé sur le fait de savoir si leur nourriture était conçue non-biodégradable, le porte-parole de McDonald's aurait déclaré: "C'est une question totalement farfelue, et c'est complètement faux."


Source: Yahoo / DailyMail.

 

 

 

Sur le site de Mac Do on trouve la liste des ingrédients pour tout les produits vendu,

concernant le big mac on a ça :

 

Le petit « pain » (dénommé Big Mac® Bun) :   · farine enrichie (farine de blé raffiné, farine d’orge malté, niacine, fer (« reduced iron »), thiamine, mononitrate, riboflavine, acide folique, enzymes) · eau · sirop de maïs à haute teneur en fructose · sucre · huile de soja et/ou huile de soja partiellement hydrogénée Le petit pain contient aussi 2% ( au plus) des ingrédients suivants : · Sel · sulfate de calcium (E516) · Carbonate de calcium (E170) colorant blanc · Gluten de blé · Sulfate d’ammonium (E517) stabilisateur · Chlorure d’ammonium (E510) Sale plus que le sel · Stéaryl de sodium lactylé, (E481(i)) Emulsifiant, stabilisant · Esters mixtes acétiques et tartriques des mono- et diglycérides d’acides gras (E472(f)) DATEM * (Diacetyl Tartaric (Acid) Ester of Monoglyceride) · Acide ascorbique* (E300) · Azodicarbonamide* (E927) · Mono- et diglycérides* (E471) · Mono- et di-glycérides éthoxyles (E488)* · Orthophosphate monocalcique* (E341(i)) · enzymes* · gomme de guar (E412)* · peroxide de calcium (E930)* · farine de soja* · Propionate de calcium (E282) *(conservateur) · Propionate de sodium (E281) (conservateur) · Lécithine de soja · Graines de sésame

 

* Agent de panification

 

 

La sauce « inimitable » (Big Mac® Sauce) :   • huile de soja • condiment de cornichons (fait avec :) - cornichons coupés en cubes - sirop de maïs à haute teneur en fructose - sucre - vinaigre - sirop de maïs  - sel  - Chlorure de calcium (E509) - Gomme xanthane (E415) - Sorbate de potassium (E202)  - Extraits d’épice - Monooléate de polyoxyéthylène de sorbitane (polysorbate 80) (Émulsifiant) • extrait de vinaigre • eau • jaunes d’œufs • sirop de maïs à haute teneur en fructose • poudre d’oignon • graine de moutarde • sel • épices • Alginate de propane-1 (E405) • sodium benzoate (conservateur) • son de moutarde • sucre • poudre d’ail • protéine végétale (maïs hydrolysé, soja et blé) – (Il s’agit en réalité de glutamate de sodium) • couleur caramel • extraits de paprika • lécithine de soja • curcuma (couleur) • Disodium de calcium d’EDTA (E385) (conservateur d’arôme).

 

 

Et pour les frites :   Pommes de Terre, Huile végétale (huile de canola, huile de soja hydrogénée, arôme naturel de bœuf [dérivés de blé et lait]*, acide citrique [conservateur]), dextrose, acide de sodium pyrophosphate (maintient la couleur), sel. Frites préparées à l’huile végétale (huile de canola, huile de maïs, huile de soja, huile de soja hydrogénée au TBHQ (Tertiary-Butylhydroquinone) et acide citrique ajouté pour préserver la fraîcheur). Dimethylpolysiloxane ajouté comme agent anti-effervescent.

*l’arôme naturel de bœuf contient du blé hydrogéné et du blé hydrolysé.

 

 

 

Pour résumer c’est tout sauf de la bonne nourriture même le pain n’en est pas. Malheureusement la paupérisation de la population continue et la nourriture surtout fruit et légumes deviennent plus chères (+11% pour les fruits +5,5% pour les légumes en un an en France), la bouffe rapide et pas chère (sa reste à démontrer) devient une habitude surtout pour la jeunesse qui on le sait reproduira ce mode de consommation à l’avenir.

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28 avril 2010 3 28 /04 /avril /2010 18:42

Des scientifiques suggèrent que les organismes génétiquement modifiés soient nocifs pour les mammifères. Plus concrètement, les chercheurs russes auraient découvert que les animaux qui mangent des aliments modifiés génétiquement finissent par perdre leur capacité à se reproduire. Ils ont utilisé des hamsters qui avaient un fort taux de reproduction et les ont nourris pendant deux ans avec plus ou moins de graines de soja transgéniques (réalisation de plusieurs groupes avec plus ou moins d'OGM intégré à la nourriture).

 


Un groupe de contrôle était lui nourri avec du soja non transgénique qui a été importé avec beaucoup de difficultés depuis la Serbie, puisque 95 % du soja mondial est déjà transgénique... Au départ, on n'a rien trouvé de remarquable, mais de génération en génération, on a vu disparaître la capacité à se reproduire pour les groupes nourris aux OGM. Une autre surprise étrange fut que des poils ont poussé dans la bouche des hamsters de troisième génération... Ces scientifiques suggèrent donc une interdiction d'une version des aliments génétiquement modifiés avant qu'ils ne soient testés de manière satisfaisante.

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27 février 2010 6 27 /02 /février /2010 18:56

Une étude française (universités de Caen et Rouen) publiée dans l’International Journal of Biological Sciences a analysé les effets de la nourriture OGM sur la santé des mammifères. Les chercheurs ont trouvé que cette alimentation provoque des dégâts aux organes des rats ; dans les reins et le foie en particulier, mais il existe des différences selon le genre sexuel. Monsanto avait publié ses propres résultats pour que son alimentation génétiquement modifiée soit acceptée sur le marché américain et européen, mais son analyse était, selon eux, réalisée sur une trop courte durée (90 jours).


Les variétés étudiées sont les maïs NK 603 (modifié pour résister à l'herbicide RoundUp), MON 810 et MON 863 (synthétisant des toxines insecticides). Monsanto a réagi immédiatement en affirmant que cette étude était fondée sur des méthodes analytiques erronées. Les chercheurs français affirment qu'il existe un risque sanitaire important, car on ne connaît pas les effets à long terme de ces produits OGM, pourtant utilisés pour l'alimentation humaine.


Source : Sur-la-toile.com

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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 16:02

Les adjuvants sont utilisés pour renforcer la réponse immunitaire. Pour Viera SCHEIBNER (auteur de plusieurs livres sur les vaccinations en Australie), les effets secondaires des adjuvants sont très variables. On ne sait pas au juste comment ils affectent le système immunitaire, quels sont les conséquences de l’hyperactivation du système immunitaire. Ils évitent de mettre plus d’antigènes dans les vaccins et permettent de réduire les coûts de fabrication. Mais ils sont des corps étrangers dans l’organisme et provoquent des effets secondaires graves.


Gary MATSUMOTO, journaliste enquêteur, raconte dans ses ouvrages que des milliers de soldats américains, depuis 1987, ont reçu un vaccin expérimental contre l’anthrax contenant du squalène, un adjuvant à base d’huile de requin. On sait que le squalène provoque de sévères maladies auto-immunes chez l’animal, comme des scléroses en plaques, des polyarthrites rhumatoïdes, des lupus érythémateux. « Cet adjuvant est responsable de la cascade de réactions qui constituent le syndrome de la guerre du Golfe » affirme Viera SCHEIBNER.


Gary MATSUMOTO rapporte des interviews saisissants de militaires atteints du syndrome de fatigue chronique : chez chacun d’eux on a retrouvé des anticorps anti-squalène. Le Dr Pamela ASA fut la première à reconnaître le rôle des adjuvants à base d’huile dans le déclenchement des maladies auto-immunes. C’est en examinant un patient qui avait développé une auto-immunité après avoir participé à des essais de vaccin contre l’herpès, vaccin qui contenait du MF59, un adjuvant à base de squalène, qu’elle en a eu la certitude. Avec le Dr Robert GARRY, elle a mis au point un test de détection des anticorps anti-squalène, test qui aujourd’hui est un outil très important dans les expertises médico-légales. Il permet aussi d’établir un diagnostic de maladie auto-immune consécutive à l’injection de squalène contenu dans les vaccins contre l’anthrax, vaccins qui furent administrés à des milliers de soldats sans leur consentement libre et éclairé. Aux Etats-Unis, dans les années 1997, le NIH (National Institute of Health) a dépensé des millions de dollars pour tester un vaccin contre le HIV contenant du squalène comme adjuvant. En 1988 commencèrent les tests sur les animaux, puis en 1991 sur les hommes au cours de 23 essais.


« Le squalène est un adjuvant clé pour la nouvelle génération de vaccins destinés aux immunisations de masse », précise Matsumoto. Des chercheurs de la Tulane Medical School et du Walter Reed Army Institute of research ont tous apporté la preuve, par des traçages radioactifs, que le système immunitaire a une réponse spécifique vis-à-vis du squalène. Le squalène pénètre dans les organes mais aussi dans le système nerveux et le cerveau. Le système immunitaire le considère comme un ennemi à attaquer et à éliminer.

 


Mode de pénétration

Ce qui est fondamental, c’est le mode d’administration de ce produit. Tout immunologiste vous dira que le chemin que prend un antigène pour rencontrer le système immunitaire fait toute la différence. Si vous avalez du squalène, pas de problème, comme c’est un lipide, votre corps saura le digérer. Ce n’est pas du tout la même chose lorsque le squalène est injecté. Une injection n’est pas une voie naturelle pour pénétrer dans le corps. On peut beaucoup plus facilement éliminer un poison ou une substance toxique s’ils pénètrent dans l’organisme par une autre voie. Par injection, l’antigène va directement dans le sang où se trouvent les rouages les plus profonds du système immunitaire.


Des études ont montré que si le squalène est injecté il va galvaniser la réponse immunitaire, ce qui va engendrer une réaction croisée d’autodestruction des molécules identiques en place dans le corps. Ce phénomène est appelé « mimétisme moléculaire ». Et c’est un processus qui ne s’arrête jamais, car le corps continue à fabriquer les molécules identiques à l’antigène et le système immunitaire ne cesse de les attaquer. Prenons l’exemple de la myéline des nerfs : le corps en fabrique tout le temps pour protéger et réparer les conduits nerveux. Avec une vaccination qui engendre une auto-immunité, comme une SEP ou une SLA, la myéline devient l’ennemi et le corps est programmé pour sa destruction, laquelle ne prend fin qu’à la mort du patient.


Un autre exemple d’auto-immunité : l’autisme. Le Dr Vijendra SINGH a mené, à l’Utah State University, des recherches qui tendent à prouver que des auto-anticorps attaquent la myéline des enfants autistes. Elle a montré que chez ces enfants, tous vaccinés par le ROR, on retrouvait des auto-anticorps dirigés contre la protéine de base de la myéline (MBP) de même qu’un taux très élevé d’anticorps contre la rougeole. Des tests montrèrent la présence anormale d’anticorps anti-ROR chez 60% des enfants autistes (soit 75 sur 125). En outre, il y avait une corrélation (+ de 90%) entre les anticorps anti-ROR et les auto-anticorps de la protéine MBP, ce qui suggère une relation causale entre le vaccin ROR et une auto-immunité dans le cerveau chez les autistes. « C’est une des plus importantes découvertes récentes dans cette pathologie, ce qui nous conduit à incriminer le virus de la rougeole dans l’étiologie des processus autistiques », conclut le Dr SINGH.

 


Le mimétisme moléculaire comme arme biologique

MATSUMOTO rapporte qu’en Union Soviétique, dès 1980, on a utilisé le principe du mimétisme moléculaire pour fabriquer une « maladie modèle » susceptible d’attaquer la myéline. En plaçant un fragment de protéine de base de la myéline dans la bactérie de la légionellose, les soviétiques ont créé l’équivalent d’une « nano bombe » qu’ils ont injectée à des cobayes. Ce qu’ils ont découvert, c’est que le système immunitaire se débarrassait très vite de la bactérie Legionella , mais que la molécule de myéline, entrée clandestinement grâce à ce « cheval de Troie » microbien, provoquait une deuxième maladie, une encéphalomyélite allergique, la version animale de la sclérose en plaques. Les soviétiques ont reconnu avoir créé une véritable bombe biologique à retardement.


« Le squalène est une sorte de « gâchette » qui déclenche la véritable arme biologique qu’est le système immunitaire. Lorsque la panoplie de cellules et d’anticorps qui constituent le système immunitaire se met à attaquer ce qu’elle est censée protéger, le résultat peut être catastrophique. En introduisant du squalène dans le vaccin contre l’anthrax administré à des milliers de soldats, on n’a pas fait un nouveau vaccin, on a fabriqué une bombe biologique », précise MATSUMOTO. En ce qui concerne le vaccin contre l’anthrax, les autorités américaines ont justifié l’usage du squalène, dont ils connaissaient parfaitement les dangers, en disant qu’ils avaient un vaccin inefficace et qu’il fallait le renforcer à tout prix rapidement, étant donné les menaces de guerre biologique en provenance de Russie et d’Irak. Depuis, les américains se sont investis dans l’industrie du squalène, ils possèdent les droits exclusifs pour fabriquer le nouveau vaccin recombinant contre l’anthrax.

 


Le marché du squalène

Il y a du squalène dans presque tous les nouveaux vaccins destinés à la vaccination de masse. Il y en a dans les prototypes de vaccins contre le sida, contre la malaria, l’herpès, la grippe, le cytomégalovirus et le papillomavirus (impliqué dans le cancer du col de l’utérus). Si les premiers cités sont encore balbutiants, le vaccin contre le cancer de l’utérus est, lui, déjà recommandé pour les jeunes filles et pratiqué dans plusieurs pays !


Le vaccin contre la grippe FLUAD (marque italienne) a reçu son AMM en 1997. Il contient du MF59, l’adjuvant à base de squalène fabriqué par les laboratoires Chiron. Tout ce que ce laboratoire a publié sur ce vaccin était positif et montrait que le squalène MF59 était sans danger ! Il faut dire que les tests ont été pratiqués sur très peu de personnes toutes âgées de 70 ans et plus, chez qui les effets secondaires du vaccin ont pu être interprétés comme des problèmes de santé habituels à cet âge (problèmes articulaires, fatigue…).


Chacun sait que les maladies auto-immunes évoluent sur le long terme, et il est difficile de les diagnostiquer rapidement. Les premiers symptômes sont très vagues (maux de tête, fatigue, problèmes articulaires et musculaires, troubles neurologiques …) et les médecins n’y prêtent pas attention, en disant que ce sont des « réactions courantes » aux vaccinations. MATSUMOTO ajoute : « On peut se demander si les scientifiques qui travaillent pour les compagnies pharmaceutiques font exprès de cacher les effets secondaires des produits pour ne pas entraver la stratégie commerciale de la firme. Les conclusions des études de Chiron sont en contradiction totale avec toutes les études menées sur le squalène tant chez les animaux que chez les hommes ».


Il faut savoir également qu’en Europe un nouveau vaccin contre l’hépatite B spécialement destiné aux « mauvais répondeurs », c’est-à-dire ceux dont le taux d’anticorps est insuffisant, voire inexistant, après vaccination, notamment les personnes en dialyse et les sujets à risque comme les toxicomanes, vient de voir le jour. Ce vaccin s’appelle FENDRIX et il est produit par GlaxoSmithKline. Il contient un « super adjuvant » le AS04 à base de MPL (monophosphoryl lipid), produit développé à l’origine par la firme américaine Corixa. Cet adjuvant va remplacer les sels d’aluminium utilisés jusqu’à maintenant. Qu’est ce que ce AS04 ? La fiche technique dit : « Il s’agit d’un dérivé d’une molécule lipidique A que l’on trouve dans les bactéries Gram - . Il est extrait des membranes cellulaires des bactéries et c’est un des plus puissants régulateurs de la réponse immunitaire aux infections bactériennes. Cet adjuvant est utilisé dans les vaccins actuellement en chantier dans les laboratoires GlaxoSK, tel le vaccin contre la malaria, l’herpès génital, le cancer du col de l’utérus et le nouveau BCG ». En fait, le AS04 est une émulsion de squalène identique au MF59 utilisé par l’armée américaine dans le vaccin contre l’anthrax, fabriqué à toute vitesse par Chiron et testé en 1998 avec la bénédiction de la FDA, du NIH et du Département de la Défense !


L’histoire du squalène nous révèle encore d’autres secrets : l’émulsion de squalène qui au départ s’appelait « Triple Mix » et qui était à base d’adjuvant de Freund, a ensuite pris le nom de « Ribi ». Ce produit fut testé par les Hollandais sur des lapins. Ils constatèrent un grand nombre d’effets secondaires sévères comparés aux autres adjuvants. En 1999, la firme RibiImmunoChem fut rachetée par Corixa pour 56,3 millions de dollars. Ce n’est pas tout, il est prévu d’utiliser le MPL, produit par cette firme, dans les futurs vaccins, actuellement en préparation, contre les allergies et contre les maladies auto-immunes !!. Notons qu’il existe d’autres adjuvants à base d’émulsions d’huile, produits à partir de bactéries, ou de leurs dérivés synthétiques comme les liposomes, ou encore des bactéries de gram-, des endotoxines, du cholestérol, des acides gras, des amines, des huiles végétales ou des huiles de paraffine.

 


Conclusion

Depuis le début, les vaccinations massives ont agi comme des armes biologiques, détruisant la santé, manipulant et paralysant le système immunitaire et initiant de nouveaux processus pathologiques dégénératifs. La solution préconisée par les managers de la « médecine-monoply » ? Eh bien, c’est de nous injecter des vaccins génétiquement modifiés, encore plus puissants. Peu leur importe de « semer » des nano bombes qui ensuite attaqueront notre système immunitaire déjà si affaibli. Le fait de stimuler l’organisme pour obtenir une réponse immunitaire plus puissante en utilisant des adjuvants à base d’huile a clairement montré que l’effet obtenu était inverse. Plus la réponse est forte, plus l’adjuvant endommage le cerveau et le système nerveux. Avec un calendrier vaccinal de plus en plus chargé, nous pouvons maintenant prédire un avenir sombre pour l’humanité. Il faut s’attendre à une épidémie de maladies neurologiques et auto-immunes sans précédent.

 

 

grippe a


 

Source : Hns-info.net

 

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29 juin 2009 1 29 /06 /juin /2009 20:00
Les sacs réutilisables ont permis d’éviter le gaspillage de plastique dans les supermarchés, mais s’ils ne sont pas nettoyés fréquemment, ils peuvent propager des bactéries pathogènes et favoriser la contamination croisée des aliments.

Santé Canada donne
quelques conseils :

- Si vous utilisez des sacs en tissu, lavez-les fréquemment, surtout après avoir transporté des fruits et légumes frais, de la viande, de la volaille ou du poisson. Certains sacs d’épicerie réutilisables ne sont pas lavables à la machine. Si vous utilisez ce type de sacs, lavez-les fréquemment à la main avec de l’eau chaude savonneuse, tout comme les bacs en plastique.

- Vous devez placer viandes, volailles et poissons frais ou congelés dans des sacs ou des bacs autres que ceux utilisés pour les fruits et légumes frais et les autres aliments prêts à manger.

- Vous pouvez placer votre viande, volaille ou poisson dans des sacs en plastique (comme les sacs transparents qu’on trouve dans les sections des fruits et légumes et des viandes), cela permet d’éviter que les jus s’écoulent et contaminent le sac ou le bac réutilisable ou les autres aliments. Il faut toujours placer fruits et légumes frais dans des sacs en plastique pour les protéger de la contamination.

- Adoptez toujours des pratiques de manipulation et de préparation des aliments adéquates, que vous utilisiez ou non des sacs d’épicerie réutilisables. Les quatre étapes principales sont
nettoyer, séparer, cuire, réfrigérer.

- Après avoir rangé votre épicerie, nettoyez l’endroit où vous avez placé vos sacs ou vos bacs pour les vider, surtout s’il s’agit du comptoir de cuisine ou de la table de cuisine.
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27 juin 2009 6 27 /06 /juin /2009 13:53

C'est un article paru dans l'écologiste N°16, en kiosque 6€... Je cite avec leur aimable autorisation :

"DuPont de Nemours savait. Depuis 1981. Et n'a rien dit. A la suite d'une action en justice, il s'est avéré que la célèbre multinationale avait caché des études montrant le danger de l'un de ses produits phares, le téflon. On le croyait inerte et innofensif. En réalité, des études récentes montrent qu'il dégagerait des polluants parmi les plus dangereux.


Découvert à la fin des années 1930 par un scientifique de la firme DuPont de Nemours, Roy J.PLunkett (1910-1994), le téflon est le nom commercial du ploytetrafluroéthylène (PTFE), commercialisé dès 1946.


Le téflon a facilité la vie quotidienne. Imperméable à l'eau, à la poussière et à la graisse, cette matière étonnante s'est retrouvée partout : dans le revêtement des poêles, des ustensiles de cuisine, dans des vêtements et tapis anti-taches, dans l'emballage alimentaire, les lunettes, les verres de contact, l'imperméabilisant Gore-Tex, l'isolation des fils électriques...


Très pratique, le revêtement en téflon empêche la nourriture d'attacher au fond des casseroles, facilite le lavage et permet d'utiliser moins de matières grasses. Il est si pratique que personne, pas même la multinationale DuPont de Nemours, son fabricant, ne s'est soucié de s'assurer qu'il était sans danger.


Les dangers du téflon : Car le téflon est composé de plusieurs produits toxiques qui peuvent être relachés dans l'air et dans la nourriture. Plus la température de cuisson est élevée, plus le revêtement se décompose rapidement, en émettant de fines particules et des gaz. Ces émissions s'observent généralement après deux années d'utilisation, et le phénomène peut s'accélérer si vous nettoyez les casseroles avec du detergent abrasif. Les produits chimiques émanant du téflon sont nocifs pour les humains et mortels, même à doses infimes... pour les oiseaux de compagnie.


Le téflon est un composé complexe d'hydrocarbures perfluorés (PFC). Aujourd'hui, les PFC sont considérés comme dangereux car ile remplissent tous les critères d'un polluant bio-accumulatif : il n'est pas biodégradable, il s'accumule dans le corps humain, chez les animaux , et les tests en laboratoire ont prouvé qu'il était toxique pour les mammifères.[...]


La dégradation du téflon dans la casserole : Le moyen le plus rapide de dégrader le téflon, c'est de le chauffer. DuPont assure que ses produits sont stables jusqu'à 315°C, ce qui serait selon DuPont une température non atteinte lors de la cuisson ordinaire. Or des études indépendantes infirment ce propos. Des produits toxiques ont été émis par le téflon dès 230°C. Lors des tests effectués par l'association indépendante Environmental Working Group, une poêle avec du téflon dépassait cette température après 2 à 5 minutes d'utilisation normale, atteignant jusqu'à 391°C en 3 minutes et 20 secondes. Des dégagements de neurotoxines sont également observés.


Utilisée normalement, une poêle en téflon dégage des particules qui se logent profondément dans les poumons. Mortelles pour les oiseaux, ces particules peuvent provoquer la "fièvre des polymères" selon l'expression consacrée. Il s'agit d'une atteinte de type pseudo-grippal (malaise, fièvre, douleurs thoraciques, dyspnée, toux).[...]


Toxicité chez l'animal... et chez l'homme : Chez les primates, l'exposition à un dérivé du téflon, l'acide perfluoro-octanoïque (PFOA), a mené à de "l'hypothyroïdisme" c'est à dire à un sous développement de la glande thyroïde. Cet effet a aussi été mentionné pour l'homme, avec pour conséquences possibles de l'hypothyroïdie l'obésité, la résistance à l'insuline et le cancer de la thyroïde. Des études montrent que chez certains animaux le PFOA est nocif pour au moins neuf types de cellules qui régulent le fonctionnement immunitaire. Les cellules de la rate et du thymus y sont vulnérables et l'exposition au PFOA réduit les fonctions immunitaires de la souris. Le PFOA a été récemment associé à des augmentations du taux de cholestérol chez les ouvriers travaillant le téflon, comme DuPont lui même le concède.


Les perfluorés agissent sur le système endocrinien, activant des signaux hormonaux, un déclencheur potentiel de cancer, de stérilité et d'anomalies de développementales. L'exposition aux produits dérivés du téflon pendant la grossesse est particulièrement dangereuse. A la suite d'une action en justice d'un groupe de citoyens, des données ont été dévoilées en juillet 2004 par l'agence américaine de l'environneemnt (EPA). Elles montrent que DuPont savait depuis 1981 que le PFOA se communique de la mère à l'enfant et peut causer des déformations faciales chez les humains. [...]


Les premières victimes : les riverains des usines de téflon : En 2001, des habitants près d'une usine de DuPont à l'ouest de la virginie ont intenté un procès contre la compagnie, affirmant qu'elle a sciemment pollué les eaux des rivières près du site. Des recherches demandées par les habitants et éffectuées par un professeur de l'université de californie à Los Angeles, James Dahlgren, ont montré un taux anormalement élevé de cancers de la prostate et des cancers de l'appareil reproductif féminin. Les habitants ont réussi à obtenir les dossiers médicaux de 5000 ouvriers de DuPont et ont découvert un excès de certains cancers comme le lymphome non hodgkinien, la leucémie et le myélome multiple. [...]


Le téflon a été vanté pendant des décennies comme "le meilleur ami de la ménagère". Pourtant aucune étude n'a jamais prouvé son innocuité. A l'inverse, de nombreuses études ont montré les dangers sanitaires de ses dérivés chez des mammifères ou chez l'homme, pour lequel il manque cruellement de données. Des associations de consommateurs américaines exigent que les casseroles en téflon portent une inscription avertissant le consommateur. Est-ce bien suffisant?  Selon le principe de précaution, le téflon devrait être retiré des rayons jusqu'à preuve inattaquable de son innocuité."

 

Source : Lilijoliecuisine.canalblog.com

 

 


- Le Teflon est mauvais si ingéré (jetez de suite vos poelles rayées !!!)

- Le beurre ou huile trop cuite sont très mauvais aussi…

- Le barbecue ? : la carbonisation des aliments est hyper cancerigène (formation en surface de composés chimiques dont certains comme les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) et notamment le benzo(a)pyrène (B(a)P) qui ont des propriétés cancérigènes)

- La cocotte-minute ? : raté ! car :

De 60 à 75 °, disparition de la VITAMINE C. De 70 à 100°, hydrolyse des protéines. De 90 à 95 °, disparition des VITAMINES A et B. A 100°C, précipitation des sels minéraux et des oligoéléments les rendant non assimilable par l’organisme. A 120°, destruction des dernières vitamines. Les graisses se décomposent en acide gras et glycérines qui se dédoublent eux-mêmes en eau et en goudrons (acroléine) cancérigènes.

 

Source : “l’homme empoisonné” de Daniel Kieffer

 

ATTENTION : l’AFPA recommande une cuisson de toutes les viandes à un peu plus de 70° (zone de prolifération des bactéries : de 4°C à 60°C (zone dangeureuse)

 

Reste donc la cuisson à la vapeur…

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16 mai 2009 6 16 /05 /mai /2009 22:59

A un an d'intervalle, deux études scientifiques ont mis à jour les dangers de l'absorption régulière d'aspartame pour la santé. En 2006, la première étude montrait une augmentation de l'incidence des leucémies, des lymphomes et de l'apparition de tumeurs malignes. En septembre 2007, un seconde étude vient de mettre en évidence les conséquences de l'exposition du foetus à l'aspartame ... résultat: l'aspartame serait à classer parmi les carcinogènes. Les études sont entre les mains de l'Agence Européenne pour l'Alimentation et de l'AFSSA dont l'avis est attendu depuis un an.

 

 

 

L'aspartame, édulcorant que l'on trouve dans tous les produits dits « allégés » ou « light », serait une substance susceptible de provoquer des cancers et devrait être classée comme telle, selon deux études Italiennes de la fondation européenne Ramazzini d'oncologie et de sciences environnementales.


Une première étude publiée en mars 2006 par le Pr Soffritti, chercheur en Oncologie de la  Fondation Ramazzini, avait montré que l'absorption, à des doses égales à une consommation journalière, avait entraîné chez des rats une augmentation significative de l'incidence de certains cancers.
L'augmentation de l'incidence a été notable sur l'apparition des lymphomes et des leucémies, ainsi que sur les cancers du rein et de l'uretère.
Les doses administrées aux rats correspondaient à un rapport de 20 mg d'aspartame par kilo de poids. Ce rapport est bien plus faible que celui qui rend compte de la consommation moyenne journalière d'aspartame par un homme habitué aux boissons light par exemple.



Exposition des foetus: effets à long terme

La seconde étude, publiée également dans une revue scientifique en septembre 2007, montrait cette fois les effets carcinogéniques sur un foetus exposé à l'aspartame, via l'alimentation des rates.
Les effets de l'exposition des foetus dès le douzième jour de la vie foetale jusqu'à la naissance se sont manifestés plus tard lors de la vie des rats.
Il est apparu une augmentation statistique significative des cas de leucémies et de lymphomes ainsi qu'un accroissement de l'apparition des cancers des glandes mammaires chez les sujets féminins.

Les conclusions de ces études sont inquiétantes : l'aspartame pourrait être considéré comme un agent susceptible d'augmenter l'apparition des cancer, et ce à une dose normale de consommation.



Agence Européenne de l'Alimentation et AFSSA: l'avis se fait attendre

Dès leurs publications, les études ont été transmises aux instances sanitaires compétentes européennes et françaises : AEA (Agence Européenne de l'Alimentation) et l'AFSSA. Ces deux instances sont habilitées à donner un avis sur ces études et à rendre publiques des recommandations indiquant la dangerosité ou non pour la santé humaine de la consommation de substances présentes dans les produits de consommation courante. Rappelons que l'on trouve de l'aspartame dans tous les produits dits « light », les plats préparés, les sucres de synthèse, mais aussi dans certains médicaments.
Depuis le mois de septembre 2007, date de publication de la dernière étude, aucun avis, aucune recommandation, n'ont été émis par ces institutions. De leur côté, les représentants des producteurs ou utilisateurs industriels d'aspartame invoquent de nombreuses études existantes concluant à l'innocuité du produit. Gageons que les recommandations tomberont bient
ôt pour mieux nous informer. 

 

Source : Guerir.fr

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