Pour faire un coup de pub, le fameux bikini est vendu dans une boite d'allumettes comme “Plus petit que le plus petit maillot du monde”d'après les dires de son créateur car il ne comporte qu'un soutien-gorge constitué de deux triangles et d'une mini culotte, qui laisse les fesses et les hanches nues... Sa garantie d'authenticité est de pouvoir le passer au travers d'une alliance.
Il est lancé avec le slogan "le bikini, la première bombe an-atomique !"
De quoi susciter à l'époque un véritable raz de marée de protestations. Les autorités italiennes, espagnoles et belges en interdisent le port. En France, le maire de Biarritz aura recours à un décret municipal pour bannir ces bouts de tissu de la plage du casino.
Il a fallu attendre 1952 pour qu’il soit autorisé en Espagne.
A noter que l’on parle de la version moderne du bikini, puisqu’on a découvert qu’une version du vêtement existait dès l’Antiquité!
Sources :
Le logo des TGV, que l'on peut voir en gros sur les trains, est en fait un escargot stylisé mis à l'envers, pour marquer le fait que le TGV est à l'inverse de l'escargot très rapide.
Une des forces des publicitaires est la capacité d'arriver à transformer des objets assez banals en produits fortement désirables. Des chercheurs hollandais ont travaillé sur le thème des publicités. Dans une publicité par exemple, un rouge à lèvres se présentait à côté d'un haut talon qui représente le glamour ; dans une autre bien classique, un bidon d'adoucissant se trouvait à côté d'un ours en peluche qui représente la douceur. Ils ont réalisé différentes expériences auprès de femmes. Après exposition à un produit de beauté, les consommatrices sont plus susceptibles de penser à elles-mêmes que si elles avaient vu les mêmes produits en dehors de leur contexte publicitaire.
Les publicités pour les produits de beauté semblent faire en sorte que le consommateur ait l'impression que leur niveau propre de beauté diffère de la réalité. Les gens se comparent aux images liées au produit de la publicité même si les images ne montrent pas de modèles humains. Ces images de produits baissent l'évaluation de soi de la même manière qu'un top modèle.