25 juin 2011 6 25 /06 /juin /2011 11:39

Les femmes mettent en avant le romantisme, mais ce sont les hommes qui disent « Je t'aime » avant ces premières. Par ailleurs, d'après la même étude, les hommes sont plus heureux que les femmes lorsqu'ils entendent cette phrase. Blasées ? Non, on va comprendre ce qui se trame. Le plus grand élan de bonheur qu'un homme puisse avoir est lorsque la femme lui susurre cette phrase avant la première relation sexuelle ; après, cela lui fait moins d'effet. C'est l'inverse chez la femme (avec moins d'intensité).

 

Si l'on se place d'un point de vue évolutionniste qui raconte en bref que les hommes cherchent avant tout à se reproduire (« sperm is cheap ») et que les femmes valorisent l'engagement afin d'être soutenues pour élever la progéniture, cette découverte n'est pas illogique. Ainsi, les hommes souhaiteraient entendre d'être aimés avant le sexe, car cela promet un potentiel "Boogie-Woogie" incessamment.

 

De leur côté, les femmes préfèreraient entendre « je t'aime » après la première relation, car cela signifie que l'homme s'engage, surtout si l'acte produit plus que du plaisir et porte ses fruits. Alors que l'on pense intuitivement que les femmes, en moyenne, diraient « je t'aime » 23 jours avant l'homme, la réalité est que c'est, dans 60 à 70 % des cas, l'homme qui déclare sa flamme 42 jours (en moyenne) avant la femme.

 

Source : Sur-la-toile.com

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23 juin 2011 4 23 /06 /juin /2011 19:11

La partie du cerveau qui est dédiée à exprimer le sentiment de danger (émotions et anxiété) devient sur-réactive chez les citadins lorsqu'ils se retrouvent stressés. Il s'agit plus particulièrement de deux régions impliquées ainsi dans la régulation de l'émotion et l'anxiété. Cette différence pourrait expliquer la prévalence des maladies mentales dans les villes. En effet, d'autres recherches avaient montré que les gens qui vivent dans les villes ont 21 % de risques en plus d'avoir des problèmes d'anxiété et 39 % concernant les troubles de l'humeur. De plus, l'incidence de la schizophrénie en ville est double par rapport aux enfants nés à la campagne.

 

On a cette fois demandé à une cinquantaine de volontaires sains d'effectuer des tâches arithmétiques difficiles (et qui avaient pour but de rendre anxieux au sujet du résultat) tout en observant leurs cerveaux sous scanner. L'amygdale et le cortex cingulate étaient davantage irrigués chez les volontaires issus des villes (l'amygdale est un peu le capteur de danger du cerveau et est liée à l'anxiété et la dépression et le cortex cingulate est responsable du contrôle des émotions et pour réagir avec l'adversité environnementale).

Ces régions du cerveau sont peut-être sensibles au stress vécu lors du développement. En 2050, 70 % des gens vivront dans des zones urbaines.

 

Source : Sur-la-toile.com

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18 juin 2011 6 18 /06 /juin /2011 12:16

Les gens qui souffrent d'insomnies tentent de nombreuses tisanes ou remèdes en tout genre. Voici peut-être la solution miracle pour bientôt : un « bonnet de nuit » qui refroidit le cerveau la nuit. Ce qui est génial a priori avec ce système est qu'il ne repose pas sur des substances médicamenteuses et que son principe est très simple.

 

Les insomniaques de l'étude avaient eu du mal à s'endormir ou à ne pas se réveiller en pleine nuit pendant au moins un mois. On savait que les personnes qui souffrent d'insomnies ont une activité cérébrale supérieure à la normale la nuit par rapport aux autres. L'idée était de tout simplement de réduire le métabolisme de cet organe. Le principe de la coiffe est d'être parcouru par des tuyaux d'eau fraîche. En 2009, les premiers essais ont montré une amélioration. La suite de l'étude a voulu voir ce qui se passait lorsque la « dose » (en réalité la fraîcheur) était accrue.

Grâce à cette coiffe, le cerveau d'un insomniaque tombe dans les bras de Morphée en 13 minutes (16 minutes sans coiffe pour les personnes normales). Le temps de sommeil est de 89 % durant la période au lit. C'est le même chiffre pour les personnes normales sans coiffe.

 

Source :  Sur-la-toile.com

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31 mars 2011 4 31 /03 /mars /2011 12:39

On dirait que les personnes qui sont en surpoids n'ont plus la faveur des cultures dans le monde. Il y avait jusqu'à présent des cultures où les corps gras étaient valorisés. Des chercheurs de l'université de l'Arizona ont réalisé des sondages dans 9 différentes parties du monde et ont constaté une attitude moyenne négative chez tout le monde. Cela suggère une globalisation du phénomène : les personnes en excès de poids sont vues comme peu désirables, paresseuses ou qui manquaient de contrôle de soi.

Aux États-Unis, les corps minces sont valorisés depuis longtemps et sont idéalisés alors que les personnes plus grasses sont stigmatisées. Cela n'a pas toujours été constaté par les ethnologues : dans les pays pauvres en particulier, les personnes grasses représentaient des valeurs comme la richesse, le succès, la générosité et la fertilité … et donc la beauté.

Les chercheurs n'ont plus toutefois trouvé cette tendance au Mexique, en Argentine, au Paraguay, ni aux îles Samoa, à Puerto-Rico ou encore en Tanzanie. La plupart des réponses des sondés dans ces pays s'alignent sur la perception occidentale. La vitesse du changement aux îles Samoa est des plus spectaculaires. L'étude ne dit pas pourquoi on constate cette modification de jugement, mais il est possible que les campagnes de prévention aient joué un rôle.

 

 

Source : Sur-la-toile.com

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 12:16

Des études internationales compilées par un médecin français dans un ouvrage révèlent que des rapports sexuels réguliers sont très bénéfiques pour la santé.

 

 

Dans «La Vie et le Temps, les nouveaux boucliers anti-âge» (éd. Flammarion), le docteur Frédéric Saldmann encourage les gens à faire souvent l'amour. Le fait d'être épanoui sexuellement entraîne une multitude d'effets bénéfiques sur la santé.

 

Son ouvrage donne l'exemple d'une étude réalisées auprès de 30'000 Américains qui affirme que l'éjaculation fréquente protège l'homme du cancer de la prostate. Jouir permettrait à la glande prostatique d’évacuer les carcinogènes qui s'accumulent dans la prostate, note le journal «Aujourd’hui en France/Le Parisien».

 

«On a découvert que 21 éjaculations par mois réduisent le risque de cancer de la prostate d'un tiers», précise l'ancien attaché des Hôpitaux de Paris, spécialiste reconnu en diététique, en hygiène alimentaire et en cardiologie, directeur de la revue «Nutrition pratique». L'étude à laquelle il se réfère précise que le bénéfice en matière de prévention du cancer de la prostate devient significatif à partir de 12 éjaculations par mois. «Les émissions de sperme contribuent au nettoyage régulier de la prostate», souligne Frédéric Saldmann.

 

 

Faire l'amour trois fois par semaine

 

Le toubib explique aussi que, tant pour les hommes que pour les femmes, faire trois fois l'amour par semaine allonge l'espérance de vie. Pour le démontrer, Frédéric Saldmann fait référence à des recherches du professeur David Weeks, de l'hôpital d'Edimbourg (Irlande). Selon une étude qu'il a menée sur 3500 personnes, âgées de 18 à 102 ans, «trois rapports sexuels par semaine permettent d'allonger la durée de vie de 10 ans».

 

«On sait aujourd'hui que les rapports physiques ne sont pas nuisibles pour le cœur, mais tendent au contraire à le préserver. Parce que le rapport déclenche un effort physique qui s'apparente au sport: fréquence cardiaque à la hausse, sueurs et sollicitations de nombreux muscles, cuisses, fesses, bras, cou et thorax. Un bon rapport sexuel fait perdre environ 200 calories, soit l'équivalent de vingt minutes de course à pied», note le cardiologue. Il ajoute qu'«une activité sexuelle soutenue limite la formation de plaques d'athérosclérose sur les artères».

 

 

Un enfant après 40 ans pour devenir centenaire

 

«Le Parisien» relate aussi que les femmes qui ont un bébé à 40 ans triple leur chances de devenir centenaire. Les chercheurs d'une étude parue dans la revue «The Lancet» ont découvert que 19% des femmes centenaires ont eu un enfant après 40 ans. Ils ont alors comparé ces statistiques avec ceux d'une population de femmes décédées plus jeunes, à 73 ans. Et il s'avérait que 6% seulement d’entre elles avaient mis au monde un bébé après 40 ans. CQFD!

 

 

Source : 20min.ch

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28 mars 2011 1 28 /03 /mars /2011 23:21

On parle souvent des vilaines éoliennes qui tuent les oiseaux mais une récente étude a voulu faire le point sur le nombre d'oiseaux tués indirectement par les humains ; par leur compagnon, le chat domestique, plus exactement. L'étude américaine a été publiée dans The Journal of Ornithology. Elle a regardé le nombre de bébés passereaux « Moqueur Chat » qui avaient été tués dans la banlieue de Washington. Pratiquement 80 % ont été tués par des prédateurs et 47 % d'entre-eux étaient des chats. 

Les décès étaient particulièrement nombreux dans les endroits où les populations de chats étaient importantes. La prédation était parfois si forte que, dans certaines régions, le renouvellement des générations n'étaient plus assurées. On estime qu'en tout, jusqu'à 500 millions d'oiseaux sont tués tous les ans par des chats (dont la moitié par des chats domestiques). En comparaison, on estime que les éoliennes actuelles tuent 440 000 oiseaux par an (en progression avec la construction d'éoliennes). Le souci majeur est en termes d'image : voir une éolienne trancher en deux un oiseau est une image forte alors qu'un chat qui attrape un oiseau nous semble un « processus naturel ».

 

 

Source : Sur-la-toile.com

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15 février 2011 2 15 /02 /février /2011 17:17

Attention à la scène de ménage ! Si vous êtes en couple, le jeudi soir est une soirée à hauts risques, plus particulièrement aux alentours de 20 heures et pour environ dix minutes... C'est ce qui ressort d'une étude britannique menée auprès de 3 000 personnes pour le compte de BetterBathrooms.com, un site vendant cuvettes de toilettes, douches et autres bidets.

 

Selon cette étude, un couple se dispute environ 312 fois par an. Les raisons de la brouille ? L'éducation des enfants ? L'argent ? Le sexe ? Non. Pour la plupart, il s'agit de questions relatives à la propreté, aux tâches ménagères mais aussi aux mauvaises habitudes... Des poils de barbe dans le lavabo, la lunette de la cuvette qu'on ne rabat pas, des serviettes mouillées abandonnées au sol ou sur le lit, laisser une trace de son passage au fond de la cuvette ou encore ne pas remplacer le rouleau de papier toilette... Arrivent également en bonne position, le choix du sacro-saint programme télé ou encore les tasses que l'on laisse partout dans la maison.

 

Le Top 10 des causes de friction pour les femmes

- Laisser des poils de barbe dans le lavabo
- Laisser des traces dans la cuvette des toilettes
- Le programme TV
- Ne pas remplacer le rouleau de toilette
- Laisser la lunette des toilette levée
- Laisser les lumières allumées
- Abandonner des tasses sales partout
- Laisser des serviettes mouillées sur le sol et sur le lit
- Conserver des choses
- Ne pas tirer la chasse

 

Le Top 10 des causes de friction pour les hommes

- Prendre trop de temps pour se préparer
- Harceler pour les tâches ménagères
- Laisser les lumières allumées
- Laisser des cheveux dans le bain
- Conserver des choses
- Remplir à ras-bord les poubelles
- Laisser traîner des vêtements partout
- Abandonner des tasses sales partout
- Le programme TV
- Regarder des feuilletons

 

Source : Leparisien.fr

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28 novembre 2010 7 28 /11 /novembre /2010 13:21

En réalité, la réponse coule de source : ils n'ont pas vraiment besoin d'en ressentir ! Une étude récente affirme que les riches ont quelques problèmes pour percevoir les émotions des autres. En réalité, les personnes qui manquent d'argent ont besoin de savoir ce qu'une autre personne ressent, car elles ont plus souvent besoin d'eux. Par exemple, les gens qui ne peuvent pas se permettre d'acheter toutes sortes de services comme la garde d'enfants ont besoin de plus souvent demander à des voisins ou à la famille. 

Cette étude a par exemple constaté la différence entre les personnes qui avaient un haut niveau d'éducation (et qui étaient donc susceptibles d'être dans la classe supérieure ou aisés) et celles qui n'avaient pas ce niveau d'éducation lors d'un test qui consistait à regarder des visages et indiquer quelles émotions les visages montraient. Effectivement, ceux qui ont un haut niveau d'éducation ont du mal à reconnaître ces émotions.

 

 

Source : Sur-la-toile.com 

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27 février 2010 6 27 /02 /février /2010 18:16
Pour un homme, le fait de partager le lit avec quelqu'un accroît les risques de diminution de performances cognitives. Les hommes qui ne dorment pas seuls ont leur sommeil perturbé, qu'il y ait câlins ou non. Dormir avec quelqu'un perturberait les capacités mentales pour le lendemain. Le manque de sommeil accroît aussi significativement les hormones de stress. Pour les femmes par contre, ce problème n'apparaît pas autant, car elles dorment plus profondément. Les femmes seraient plus habituées à des perturbations en raison de leurs vies typiques : élever des enfants, règles, ménopause...

Ces résultats sont les conclusions d'une
étude de l'université de Vienne qui a surveillé le sommeil de jeunes couples sans enfants et à qui on a demandé successivement de passer 10 nuits ensemble ou 10 nuits séparément avant de passer des tests cognitifs quotidiennement. Les femmes obtiennent aussi un meilleur résultat pour se souvenir des rêves après une nuit passée seule ; les hommes, eux, après une relation sexuelle.

Source :
Sur-la-toile.com
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27 février 2010 6 27 /02 /février /2010 18:01
Une nouvelle étude américaine suggère que les couples homme/femme qui utilisent le « nous » sont davantage capable de résoudre les conflits que ceux qui ne le font pas. Ce sont des chercheurs de Berkeley qui ont analysé des conversations entre couples mûrs, voire âgés. Ils ont regardé les points de désaccord que les candidats relevaient au sujet de leur mariage. Les couples utilisant plus souvent « nous », « notre » etc. au lieu de « je » et « toi » voyaient le couple plus positivement. Le stress psychologique semblait aussi bien moindre. On a noté au passage que les couples de personnes âgées utilisaient davantage le « nous ». Voilà donc un indicateur assez fiable de la qualité d'un couple.


Source : Sur-la-toile.com
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