Le développement de Superman commence en 1933.Jerry SiegeletJoe Shusteront 17 ans et sont camarades de classe dans une école à Cleveland en Ohio.
En janvier, Siegel écrit une histoire courte, illustrée par Shuster, intituléeLe Règne du Superman, que Siegel publie dans son magazine,Science Fiction.
Le protagoniste est un vagabond nommé Bill Dunn qui obtient de vastes pouvoirs psychiques grâce à une drogue expérimentale et qui s'en sert pour satisfaire ses caprices et gagner de l'argent. Il finit cependant par les perdre, et redevient un vagabond anonyme et honteux.
Le Règne du Superman. Aucune relation avec le Superman classique, à part le nom et son créateur.
Tsugumi Ōba(大場つぐみ, Ōba Tsugumi) est un scénariste de manga né à Tōkyō dont les seules œuvres sont Death note et Bakuman. Mystérieux, il ne laisse filtrer aucune information sur lui, si bien que presque personne ne connaît son vrai nom, ni son visage.
Hypothèses
Au vu de la popularité de Death Note, certains avancent que ce pseudonyme cache un scénariste célèbre.
De plus, bien que Tsugumi soit un prénom féminin, il n'est pas rare de voir des auteurs de manga prendre un nom de plume du sexe opposé.
En tout cas, l'éditeur japonais Shūeisha garde le secret. On pourrait le comparer au personnage de L dans Death note. Il indique dans une interview qu'il ressemble à Near, à cause de son côté casanier, mais son aptitude à apprendre des choses le rapprocherait également de Light ...
Les livres français, sur une étagère, ont la tranche (techniquement le dos) qui se lit en penchant la tête à gauche, c’est-à-dire que le bas des lettres est dirigé vers la (première page de) couverture. Les éditions anglaises et américaines, elles, ont le haut des lettres dirigées vers la (première page de) couverture de manière à ce que la tranche (le dos) soit lisible quand le livre est posé à plat, couverture vers le haut.
Selon les déclarations de Nightow, l'anglais est la langue officielle des habitants du monde de Gunsmoke
La lettre D dans Nicholas D. Wolfwood signifie Dokonokuminomonjawaresumakinishiteshi- zumetarokakora. Sans rire
La croix de Wolfwood est appelée Punisher
Le comics Spiderman fut une importante influence sur Nightow. Le personnage de Monev la Galle fut inspiré par Venom : en fait, Monev n'est rien d'autre que Venom écris à l'envers
Ep.09 : on peut voir clairement que la croix de Wolfwood se trouve sur le toit du bus avant qu'il ne soit retrouvé dans le désert
Ep.10 : le nom de Vash sur le tableau est épelé Stanpede au lieu de Stampede
Ep.12 : on peut voir que l'arme de Vash est un Colt .45
Quand la production de l'anime fut entamée, Nightow n'en était qu'au volume 2 du manga. Ainsi, à partir de l'épisode 16, l'anime suit une narration différente de celle de la version papier
Le titre Trigun vient de ce que Vash "transporte" trois armes : son revolver, son bras artificiel et son "bras d'ange"
La chanson que Rem avait l'habitude de chanter à Vash est la même que celle que chante le garçon du train.
xxxHolic, Kekkaishi, ... les manga regorgent de références aux yokai.
Les yokai sont des monstres, des esprits, des créatures mythiques, issus des contes et légendes shintoïstes et bouddhiques. Des sculptures datant de l'époque Jômon (période préhistorique) montrent que ces créatures ont toujours fasciné les Japonais.
Il faut attendre le XIIesiècle (le régime des nobles cède alors la place à celui des samurai) pour voir apparaître les premières peintures de monstres. Ces œuvres reflètent souvent un monde misérable, une société angoissée par le système du shogounat et par la guerre. La population commence alors à s'intéresser à tout ce qui a trait au surnaturel.
À l'époque Muromachi (1392-1573), la peinture sur rouleau, qui représente les aventures de créatures maléfiques, gagne en popularité. À l'époque d'Edo (1603-1868), période de croissance économique et culturelle, la passion pour les yôkai devient une véritable source de divertissement. Ainsi, les représentations et les classifications de ces créatures se déclinent sous forme d'estampes, de livres illustrés et de kakemono.
Le bestiaire semble inépuisable. Certaines créatures sont féroces et effrayantes, alors que d'autres sont attendrissantes et drôles, telles que le kitsune, le tanuki, le kappa ou le nopperabo. Le thème populaire du spectre, que le cinéma reprendra par la suite, occupe aussi une place prédominante.
Grâce au développement des techniques picturales, la diffusion des œuvres représentant des yokai croît dès le début du XVIIe siècle. Mais le déclin survient à l'époque Meiji (1868-1912), où les Japonais se désintéressent de ces créatures folkloriques, en raison de la modernisation. Il faut attendre l'après-guerre pour que les yokai soient de nouveau en vogue, par l'intermédiaire de la bande dessinée japonaise. À la fin des années 60, ce genre à part entière connaît une popularité sans précédent, qui marque également le début du succès de l'édition de manga.
Pour en savoir plus sur les yokai, leur nom, leurs attributions, leur histoire, vous pouvez lire le Dictionnaire des Yokai dans la collection Pika (2 volumes).
Un été avec coo - Titre original : Kappa no coo to natsu-yasumi
Le Japon est logiquement, le premier consommateur de manga au monde. Les japonais sont de très gros lecteurs et on estime que plus de 50% de la population achète au moins un manga par semaine. C'est une importante source de profit au pays du soleil levant. Le prix d’achat est beaucoup moins important que dans les pays importateurs : au Japon un volume coûte plus ou moins 400 yens (soit environ 3.10 euros).
La vision du manga est différente en Asie et en Europe. En France par exemple le manga est considéré comme un objet de valeur, de collection, tandis qu’au Japon il est perçu comme un objet de grande consommation, presque comme quelque chose de quotidien.
La diffusion du manga ne se fait pas comme en Europe où ils sont en général bimensuels : le manga est d’abord pré-publié dans les pages d’hebdomadaires rattachés aux grandes maisons d’éditions. Les auteurs sont tenus de respecter des délais très stricts et de fournir un chapitre par semaine (ce qui vous vous en doutez est extrêmement contraignant). Un manga comportant en moyenne 10 chapitres il faut donc attendre plus de deux mois avant d’avoir le volume relié.
En revanche les japonais ne tiennent pas aux hebdomadaires (qui sont un peu comme leur Parisien local) et ces mêmes magazines sont généralement jetés après lecture (précisons tout de même qu’ils sont fait en papier recyclé et donc prévu à usage unique). Le manga reste néanmoins une valeur sure de la distribution mondiale. En effet les 42 volumes de Dragon ball (Akira Toriyama, éditions Glénat) se sont vendus à 250 millions d’exemplaires dans le monde, un chiffre hallucinant qui surclasse certaines valeurs sures de la bande dessinée européenne comme les célèbres Aventures de Tintin.
Les dessinateurs sont nommés Mangaka et sont généralement d'anciens assistants d’autres auteurs. Ils peuvent au cours de certaines manifestations ou concours exposer leurs œuvres personnelles et ainsi être remarqués par des chercheurs de talents des différentes maisons de production.
Les mangaka ont un rendement beaucoup plus important que les auteurs européens ou américains. Ils sont également mieux payés et publiquement reconnus. Si leurs œuvres fonctionnent bien et qu’elles sont par la suite adaptées à l’écran en Live (avec de vrais acteurs) ou en film d’animation, les Mangaka peuvent devenir très riches. Du fait de leur rythme acharné de publication, reflet de la mentalité japonaise, ils se consacrent uniquement sur la modélisation de leurs personnages et laissent les trames et autres décors à leurs assistants.
Certains Mangaka sont déjà mondialement connus tels que Akira Toriyama, précédemment cité, ou encore Ozamu Tezuka (Metropolis) qui est considéré comme le père du manga. Ils n'ont de cesse d'inspirer de nouvelles générations de dessinateurs.
Les Manga visent des lecteurs différents selon leur histoire et leur graphisme, on distingue ainsi plusieures catégories répondant chacune à un nom bien précis :
- Les KODOMO, ou manga pour jeunes enfants : ces manga sont en général porteurs d'un message d’apprentissage, d'une morale….on retrouve parmis ces mangas les Pokemons, Digimon et autres. - Les SHONEN, ou manga pour adolescents mâles : baston, entraînement, violence, humour gras ou misogyne, baston, amitié virile, dépassement de soi et baston. Un style ciblant les jeunes garçons qui aiment les combats et les jolies filles (presque tout le monde quoi). On y retrouve Dragon ball ou encore Naruto. - Les SHOJO, ou manga pour adolescentes : des histoires complexes, des romances impossibles, des esprits troublés, des hommes androgynes et des larmes. On peut y voir un genre d'Arlequin japonais. Parfait pour les filles, plus rébarbatif pour les hommes. Mais ne soyons pas sectaires : les Shôjos peuvent aussi plaire aux garçons puisqu'ils mettent souvent en place des situations proches de la réalité. Les sentiments y ont une place prédominante et Fruits Basket me semble en être un bon exemple. - Les SEINEN, ou manga pour jeunes adultes (plutôt masculins) : souvent des histoires d’horreur où l’hémoglobine tient un rôle important. On y trouve aussi des intrigues policières, des critiques de la société. Ce genre de manga peut être représenté par Akumetsu, déjà évoqué sur ce Blog. - Les JOSEI, ou manga pour jeunes femmes adultes : idem que pour les Seinens mais en moins gore et plutôt axés sur les critiques de la société (souvent vue à travers les yeux d’une femme).
Il existe également les Seijins qui sont respectivement pour les hommes,et les Redisules pour les femmes adultes.
Notons aussi la présence de genres spécifiques, qui peuvent entrer dans plusieurs de ces catégories :
-le Yonkoma (en 4 cases souvent humoristique), le Gekiga (qui se déroule dans les années 60-70), le Ecchi (manga érotique), le Hentai (manga pornographique), le Suiri (manga tourné vers le meurtre), le Jidaimono (manga historique), le Shôjo-ai (romance sentimentale lesbienne), le Yuri (romance sexuelle lesbienne), le Shônen-ai (romance sentimentale entre hommes) et le Yaoi (romance sexuelle entre hommes).